Friday, February 15, 2008

Il avait rendez- vous avec une très belle femme et la mort le jour de la saint Valentin.

DECES D’UN INSPECTEUR D’ETAT. L’affaire est encore loin de son dénouement. Insatisfaite, la famille a demandé un examen approfondi.

Ayant trouvé la mort dans des circonstances suspectes dans un hôtel restaurant , le décès de ce haut fonctionnaire de l’Etat pose encore problème. Le drame s’est passé, rappelons-le, à Ambohidratrimo dans l’annexe d’un hôtel-restaurant installé à Ampasika. De source auprès de cet annexe àAmbohidratrimo, ce haut fonctionnaire de l’Etat était mort dans une chambre alors qu’il était accompagné d’une charmante jeune femme. A cet effet, la famille du défunt demande un deuxième examen de son corps pour voir l’état de ses organes et les causes de sa mort. Pour eux, la première autopsie qui a conclu à une mort naturelle n’est pas satisfaisante. Les médecins légistes de l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona ont procédé à l’opération hier, mais le résultat ne sera connu que lundi prochain. Par ailleurs, une enquête est ouverte afin d’élucider cette affaire qui a fait couler beaucoup d’encre. Selon un responsable de la gendarmerie, « toutes les personnes présentes sur les lieux, le jour du drame, ont été entendues par les enquêteurs. Aucune hypothèse n’est à exclure. L’enquête est en cours. Attendons le second rapport d’autopsie - effectué avec beaucoup de précautions - qui sera connu lundi. »

Relâchée

La dame qui a été vue la dernière fois en compagnie du défunt a été relâchée hier. Et ce, sur l’ordre du Parquet en charge du dossier. Les gendarmes n’ont rien constaté de suspect lors du constat du cadavre. Qui plus est, aucune plainte n’ayant été déposée jusqu’à présent, auprès de la brigade de la gendarmerie d’Ambohidratrimo concernant cette affaire qui n’est pas pour servir l’image du corps d’appartenance de l’intéressé. Par contre, quelques membres de la famille étaient venus hier à Ambohidratrimo pour récupérer la voiture tout terrain de ce grand commis de l’Etat. Mais pour les besoins de l’enquête, le véhicule n’est pas encore autorisé à quitter les lieux du drame. Il a trouvé la mort dans des circonstances suspectes, le jour de la Saint-Valentin, laissant ainsi seuls, sa femme et ses quatre enfants.

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Amour et accident cardiaque...



"Toi et moi dans le même bermuda, c'est l'amour !". La chanson du groupe Léopold Nord avait oublié de souligner les vertus thérapeutiques des galipettes. Et pourtant, les câlins sous la couette sont bons pour le cœur, les artères et préviendraient même certains cancers. La bagatelle, c'est du sérieux !


Faire l’amour c’est bon pour la santé

En plus des sensations intenses qu'ils procurent, les câlins sous la couette seraient bénéfiques pour la santé. Faire l’amour augmenterait l'espérance de vie, préviendrait l’apparition de problèmes cardiaques et même de certains cancers. Quand plaisir rime avec santé…

"Réduisez votre consommation d’alcool, arrêtez de fumer et… faites plus souvent l’amour" ! Tels pourraient être les conseils que vous donnera demain votre médecin. En effet, depuis de nombreuses années différents travaux s’intéressent aux effets sur la santé des rapports sexuels. Et pratiquement tous soulignent les bénéfices de cette activité sur la durée de vie et la prévention de certaines maladies.

Quand le sexe n’envoie pas au ciel…

D'une manière générale, les relations sexuelles régulières feraient baisser le taux de mortalité chez l'homme. Une recherche suédoise1 de 1981 avait souligné un taux de mortalité plus fort que la moyenne chez les hommes de 70 ans qui avaient cessé depuis plusieurs années leur activité sexuelle. Mais ses bénéfices ne concernent pas que les seniors. Début 1997, une étude britannique2 a suivi 918 hommes âgés de 45 à 59 ans pendant quatre ans. Elle a démontré que, durant cette période, le taux de mortalité des hommes avec au moins deux relations sexuelles par semaines était deux fois plus bas que le taux de mortalité de ceux qui en avaient moins d'une par mois. Attention, au-delà de deux rapports sexuels, aucune proportionnalité n'a été constaté entre le nombre de rapports sexuels et la baisse du taux de mortalité.

J’y mettrai tout mon coeur

Les vertus thérapeutiques de l'activité sexuelle concernent principalement le coeur. En effet, l’étude britannique précédemment citée souligne une baisse des risques cardiaques liés à la fréquence des relations sexuelles. Ces bienfaits sur le coeur sont également évoqués pour les deux sexes dans des travaux américains publiés en l'an 20003.

Bien sûr, ce bénéfice reste discutable : faire l’amour n’est somme toute qu’un exercice physique, or les bienfaits pour le coeur de l’activité physique sont bien connus ! A chacun son sport…

La petite mort sans la grande…

Evidemment, certains ne manqueront pas d’évoquer les risques d’epectase (décès durant l’orgasme) et citerons l’exemple du président français Félix Faure, mort en 1899 à l’Elysée dans les bras de sa maîtresse…

Qu’ils se rassurent, l’étude américaine citée plus haut3 a évalué les risques d’attaque cardiaque liés à cet exercice particulier. Certes, elle démontre que le risque d’infarctus du myocarde est 2,5 fois plus important durant les deux heures qui suivent une relation sexuelle. Néanmoins, ce risque reste extrêmement faible : l’augmentation du risque d’accident cardiaque est de 0,01 % sur un an pour une fréquence d’une relation sexuelle par semaine.

Orgasme et prostate : même combat ?

Outre d'éventuels effets sur le coeur, faire l'amour pourrait prévenir l'apparition de certains cancers. Ainsi, une étude japonaise4 de 1990 menée sur cent hommes pendant trois ans aurait démontré une baisse du risque de cancer de la prostate liée à une augmentation de la fréquence des orgasmes. Néanmoins, cette étude dénote également une augmentation du risque en cas d’activité sexuelle soutenue entre 30 et 50 ans…

Cet effet des relations sexuelles sur la prostate à également été étudié sous l’angle de l’abstinence. Ainsi, des recherches américaines5 de 1981 ont étudié le taux de mortalité lié au cancer de la prostate chez 6 226 prêtres catholiques de l’état de New York (Etats-Unis).

Les résultats, cette fois-ci, ne plaident pas en faveur des relations sexuelles : les décès liés au cancer de la prostate étaient deux fois moins élevés chez les prêtres que ceux statistiquement attendus. Les taux de mortalité liés aux cancers colo-rectaux ou pulmonaires étaient également moins élevés.

Aimez-vous les uns les autres

Une autre étude américaine6 de 1996 concernait cette fois-ci 2 573 Soeurs catholiques âgées de 50 à 84 ans. Cette fois-ci, les résultats montraient une augmentation chez les nonnes du taux de mortalité lié aux cancers du sein et de l’appareil génital. Pour les scientifiques, l’explication serait en fait liée à l’absence de grossesses et non à celle de relations sexuelles.

Dans tous les cas, l’hygiène de vie d’un prêtre ou d’une nonne diffère par de nombreux aspects de celle du citoyen moyen. L’abstinence ne saurait évidemment porter toute la responsabilité de ces observations statistiques.

Jeux de main…

Enfin, il ne faut pas oublier les préliminaires, qui seraient eux aussi bon pour la santé. C’est du moins ce que suggère un chercheur australien7. D’après lui, la stimulation des tétons chez la femme, en libérant une hormone appelée l’ocytocine, pourrait prévenir l’apparition du cancer du sein. L’étude précise même que l’ocytocine est libérée en grande quantité lors de l’orgasme, et que l’activité sexuelle pourrait donc avoir un rôle protecteur contre le cancer du sein.

D’une manière générale, ces différentes travaux semblent donc indiquer que faire souvent l’amour est réellement bénéfique pour la santé. Néanmoins, si vous décidez de prendre en main votre santé… pensez à vous protéger. Ne badinez pas avec votre cœur , car pour lui passions, émotions et compétitions ne sont pas sa tasse de thé !!!


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