Wednesday, February 28, 2007

Le distributeur informatique PC City décide de fermer ses portes au mois de juillet



Le groupe britannique DSG, propriétaire de la chaîne de magasins d'informatique PC City, a annoncé, vendredi 23 février, la fermeture de ses onze points de vente en France, menaçant ainsi plus de 300 salariés.

Leader de la distribution de matériel informatique au Royaume-Uni avec l'enseigne PC World, DSG s'est lancé en France en 2000 avec un site de e-commerce. Victime de l'éclatement de la bulle Internet, le groupe anglais décide alors de reconvertir ses équipes vers des magasins physiques. Les débuts sont balbutiants. Les emplacements choisis ne sont pas optimums et surtout l'enseigne hésite sur son positionnement.

En 2004, la direction française veut prendre ses distances avec le modèle discompte qui a fait le succès du groupe au Royaume-Uni et opte pour un concept offrant un assortiment plus spécialisé et axé sur le service au client. Les résultats sont si encourageants que le management anglais n'hésite pas, en 2005, à se fixer à terme l'ouverture d'une centaine de magasins.

CHANGEMENT DE STRATÉGIE

A l'époque, l'objectif semble ambitieux mais pas hors de portée. Même si la France est l'un des marchés les plus concurrentiels, le potentiel est réel pour un acteur sachant jouer sa différence entre discompteurs et des concurrents plus haut de gamme comme la Fnac ou Darty.

Mais début 2006, changement de stratégie. Le patron de la branche informatique de DSG est remplacé par un financier. Celui-ci décide de réduire de façon drastique les coûts. Le siège social français, qui compte une soixantaine de personnes, est fermé. Les achats et la logistique seront désormais pilotés de Londres.

C'est là que les problèmes commencent. Le concept discompte développé outre-Manche n'est pas adapté au marché français, où la bagarre est beaucoup plus rude. De plus, le transfert de la logistique à Londres conduit à de graves problèmes d'approvisionnement au moment des fêtes de fin d'année 2006. Les pertes de PC City s'élèveraient à plus de 32 millions d'euros pour l'exercice 2006-2007.

Pour se justifier, DSG évoque pêle-mêle "l'état du marché immobilier" et une "législation contraignante" empêchant la revente à perte... Les 300 salariés seront fixés sur leur sort d'ici à juillet, terme de la procédure légale.



Tuesday, February 27, 2007

LES FEMMES RESISTENT MIEUX AUX CANCERS QUE LES HOMMES

Plus d'un cancer sur deux est guéri en France. En effet, moins de 50 % des personnes atteintes de cette maladie meurent au cours des cinq années suivant le diagnostic. Cependant, il existe de très grandes disparités selon les cancers, certains guérissant dans neuf cas sur dix, d'autres moins d'une fois sur dix. De même, la survie varie selon le sexe. Pour la première fois, une étude de très grande ampleur a été menée en France à partir des registres où sont recensés les cas, grâce au soutien de la Ligue nationale contre le cancer. Les résultats de cette étude ont été présentés mardi 27 février.

Les données rassemblent tous les cas enregistrés entre 1989 et 1997, soit 205 602 malades âgés de plus de 15 ans. Pour chaque cas, une vérification a eu lieu afin de savoir si la personne était toujours en vie au 1erjanvier 2002 et, dans le cas où elle serait décédée, si la mort était ou non la conséquence directe du cancer. On parle de survie relative pour le taux corrigé des cas de décès autres que le cancer. La taille de cette base de données a rendu possible une analyse pour les 35 localisations de cancer recensées.

"La France apparaît globalement en bonne position par rapport aux autres pays européens pour le taux de survie à cinq ans", constate le docteur Pascale Grosclaude, responsable du registre du Tarn et l'une des responsables scientifiques de l'étude. Mais, souligne-t-elle, "il faut parler non pas du cancer mais des cancers, avec certains comme celui du sein, où il y a eu des améliorations et d'autres, comme ceux du poumon ou du pancréas, pour lesquels les progrès sont lents".

"Outre la bonne performance moyenne du système de soins français, nous voyons apparaître dans cette étude les progrès accomplis au cours de la décennie des années 1990, avec un gain de 6 % à 7 % pour la survie, se réjouit le professeur Dominique Maraninchi, président de l'Institut national du cancer (INCa). Il y a eu une modification du caractère curable de certains cancers, mais pas de tous." Le professeur Henri Pujol, président de la Ligue nationale contre le cancer, abonde dans le même sens. "Il existe une grande hétérogénéité, constate-t-il. Le taux de survie relative cinq ans après la découverte du cancer est de 95 % pour celui du testicule, de 85 % dans le cas du sein, de 56 % dans le cas du côlon et du rectum, mais de 14 % si le cancer est localisé au poumon et de 6 % si c'est au pancréas. Nous voyons clairement les efforts à accomplir." Ces disparités s'expliquent en partie par la localisation, superficielle ou profonde, de ces cancers, de même que par le fait qu'ils sont plus ou moins aisément décelables. "Le cancer du pancréas ne parle pas, alors qu'une grosseur au sein ou du sang dans les selles vont alerter", explique le docteur Grosclaude.

Autre différence mise en évidence par l'étude, le taux de survie à cinq ans est meilleur chez la femme (63 %) que chez l'homme (44 %). Première explication : devant un signe d'alerte, les femmes ont plus volontiers un comportement de prévention, alors que les hommes consultent plus tardivement. Il semble également que, pour un même cancer, les femmes présentent des formes moins agressives que les hommes.

Les progrès réalisés dans l'amélioration de la survie relative résultent à la fois de diagnostics plus précoces et d'évolutions thérapeutiques. "Au cours des années 1990, la mise au point de traitements par chimiothérapie et par hormonothérapie a par exemple permis d'améliorer le taux de survie après un cancer du sein", souligne le professeur Pujol.

Au-delà des interprétations scientifiques, des conclusions plus générales peuvent être tirées. "L'analyse de la survie relative à cinq ans montre qu'il n'y a pas de justification à la pénalisation dont sont victimes les personnes qui ont été touchées par le cancer auprès des banques et des assureurs, affirme le professeur Pujol. Les disparités mises en évidences confortent la nécessité de disposer de pôles de référence régionaux pour le traitement des cancers." Pour sa part, le professeur Maraninchi estime indispensable de "garantir l'équité dans le diagnostic précoce des cancers et dans la qualité des soins".

L'exploitation de cette base de données, administrée par le réseau Francim, les Hospices civils de Lyon et l'Institut de veille sanitaire, va se poursuivre. Les résultats de l'analyse de la survie relative à dix ans devraient être rendus publics en septembre. D'ores et déjà, le président de l'INCa s'engage à "renforcer le dispositif de surveillance Francim, en particulier pour fournir des explications aux disparités constatées".

Monday, February 26, 2007

Sécurité routière : Tout va changer à partir du 15 mars prochain, et gare aux contrevenants !!!

La prochaine entrée en vigueur des mesures relevant de la sécurité routière fait actuellement l’objet de vifs débats au sein des usagers : port obligatoire de la ceinture de sécurité ; usage interdit par le grand public des vitres fumées ; interdiction de téléphoner au volant ; phares obligatoires pour les deux roues, port du casque, etc…

« C’est un débat qui n’a même pas lieu d’être. Ne laissons plus perdurer un laisser-aller qui n’a que trop duré », clame-t-on d’un côté. « Il faudrait des mesures en adéquation avec nos réalités », soutient-on de l’autre

La série de mesures qui devrait entrer en vigueur à la mi-mars, intéresse donc, obligatoirement, un grand nombre d’usagers : ceux pour qui de telles mesures ne posent pas de problème et défendent même la nécessité d’instaurer des mesures qui, tout au moins, pourraient atténuer le laisser-aller, et d’autres qui devront changer radicalement de comportement et qui ne le feront pas de gaieté de cœur.

Taxis

Les propriétaires de véhicules anciens sont notamment les plus exposés à un dilemme puisque ces véhicules ne sont tout simplement plus équipés de dispositifs tels la ceinture de sécurité, depuis belle lurette. Va-t-il donc leur falloir en installer une eux-mêmes ? Quid alors du degré de sécurité sur de telles installations adaptées et en aucun cas d’origine ni conformes aux normes ? Ou alors ces véhicules sont-ils tout simplement condamnés à ne plus jamais rouler ? Pour l’instant, beaucoup de questions et peu de réponses. Et plus encore chez les chauffeurs de taxi-ville qui sentent leurs emplois menacés. En effet, seule une infime partie d’entre eux conduit un véhicule équipé de ceintures de sécurité. L’écrasante majorité des taxis de Tana est constituée de voitures 4L et de 2CV qui en sont dépourvues depuis « toujours ». Alors qu’actuellement il n’est pas rare non plus d’apercevoir des taxis qui ne sont pas aux normes avec les réglementations déjà en vigueur, pour ne citer que les basiques clignotants et feux de stop en état de marche !

Indiscret

Pour leur part, les adeptes des vitres fumées montent au créneau, défendant la motivation qui les a animés en installant ce dispositif. Et d’affirmer qu’ils l’ont fait par mesure de sécurité : « l’intérieur des véhicules est moins exposé aux regards indiscrets des voleurs, lesquels n’hésitent pas à casser les vitres pour s’emparer des objets à l’intérieur ». Tout ceci, bien sûr, en marge des autres motivations peut-être « inavouées » qui auraient pu inciter certains automobilistes à teinter les vitres de leurs portières et leur lunette arrière. Bref, la série de mesures que le ministère des Transports et du Tourisme compte mettre en vigueur n’a pas encore fini de faire parler d’elle.

Saturday, February 24, 2007

LA CHASSE AUX PROSTITUES EST OUVERTE A TANA

Une grande opération a été menée à Tsaralalàna pour évacuer les occupants des trottoirs. Les prostituées sans carte d'identité, ainsi que les 4-mi, en ont été les cibles.

Il était près de 19h45 quand tout a commencé. Les agents de sécurité, ceux de la police et les pompiers se sont mobilisés depuis le bureau de fokontany d'Isotry-Atsinanana, de Tsaralàlana et d'Ampasamadinika (Fiata). Rendez-vous a été fixé pour l'opération trottoir.
“L'objectif est d'enlever les prostituées mineures et sans carte d'identité, ainsi que les 4-mi qui inondent les rues. La mesure concerne aussi les vendeurs illicites d'alcool en plein air”, souligne Ramanantsoa, chef quartier adjoint de Fiata.
Il souligne que ce genre de toilettage a été maintes fois mené, sans résultat satisfaisant. La situation frustre toute la population. “Ce que nous voulons, c'est surtout une solution à long terme de ce phénomène d'occupation des trottoirs que les riverains et les habitants endurent nuit et jour”, souligne Jeanne Marie, une habitante de Tsaralalàna depuis trente ans et qui supporte depuis, les tapages nocturnes, les cas de violence et les mauvaises manières.
L'opération s'est déroulée d'une manière stricte. Prostituées sans papiers, mendiants, gargottiers illicites ont été tous saisis. Plaintes, répliques, cris, grogne ont été répondus aux injonctions de la patrouille venue déranger les concernés.
“Je ne sais plus où aller. Je viens d'Alatsinainy Bakaro et je n'ai ni famille ni endroit où dormir après avoir été licenciée de mon travail de femme de ménage. Cette arcade me servait d'abri”, se plaint Eliane, une 4-mi parmi les expulsés de Tsaralalàna. Elle avait du mal à ramasser les sachets lui servant de couverture.
“Nous avons des cartes d'identité et nous nous demandons pourquoi on nous expulse des lieux”, soulève quant à lui Michael Raharinarivo, un jeune homme surpris en plein sommeil avec sa femme.
Projets d’assainissement
Le quartier de Tsaralalàna a été réveillé par cette opération qui laisse les riverains rêveurs quant à voir un jour ce quartier débarrassé de toute activité de débauche.
“Il nous est difficile d'enlever en une foulée ces occupants de trottoirs. L'objectif est d'abord de les diminuer. Mais notre plan de développement du fokontany projette de donner une autre image de Tsaralalàna”, souligne Mahefa Rafaralahy, chef quartier.
Il ajoute que les 44 fokontany du 1er arrondissement ne minimisent pas le problème, mais comptent établir des mesures communes. En quelques heures seulement, plusieurs prostituées dépourvues de carte d'identité ont été saisies et envoyées au commissariat central de la police à Tsaralalàna.

Friday, February 23, 2007

Le foie

Qu’est-ce qui fatigue le foie ?

Outre l’alcool, premier ennemi du foie, est le tabac, qui a une action directement nocive sur cet organe, les molécules chimiques lui donnent un surcroît de travail puisqu’il a la charge de détoxiquer tout ce qui n’est pas naturel. De nos jours, des «poisons» chimiques sont contenus dans les aliments, confiseries, boissons, plats préparés industriels, et aussi dans l’air, sur le lieu de travail ou à la maison (colles, contreplaqués, produits de nettoyage, etc.) ; sont aussi à éviter tous les aliments frits, carbonisés, caramélisés, fumés, torréfies (café, etc.) ; les excès de sucre et de farineux ; de même que des médications de confort ou évitables : le paracétamol, des antibiotiques, des antifongiques, certains antiviraux, la pilule, nombre de médicaments sont très éprouvants pour le foie – un organe qui est, bien plus souvent qu’on ne le pense, en insuffisance fonctionnelle, et cela même dès l’enfance.

Soulager le foie, aider les défenses

Heureusement, le foie est un organe capable de se régénérer… si on lui laisse une chance, et sa santé dépend de la santé globale de l’individu. C’est ici que l’hygiène de vie intervient, qu’elle est même indispensable. Elle permettra d’alléger le travail du foie tout en aidant les défenses immunitaires. L’arrêt ou la forte réduction de la prise d’alcool est donc la première mesure à prendre. «L’association entre infection et alcool, résume le Dr Gabriel Perlemuter, de l’hôpital Antoine-Béclère de Clamart, semble augmenter le risque de fibrose et de cirrhose. Même une consommation faible pourrait être délétère sur la virémie et sur la réponse au traitement.» En plus d’augmenter la charge virale, l’alcool inhibe les cellules CD4, indispensables à l’immunité. «Le sevrage semble donc important à obtenir chez les malades infectés par le VHC», conclut le Dr Perlemuter. Il en va de même pour les porteurs du virus de l’hépatite B – sans parler ici des malades du sida, bien sûr.

Un touriste en situation irrégulière s’endort au tribunal

Un touriste français dont le visa est périmé depuis deux mois a fait l'objet d'une enquête à parquet hier. Il était dans un état d'ébriété avancée si bien qu'il s'est endormi à même le… parquet durant plusieurs minutes. Quand on allait l'emmener au bureau du substitut pour enquête, il s'est mis à prononcer des phrases indélicates à l'endroit de l'assistance, tout en qualifiant les autorités malgaches de tous les maux. D'autre part, il voulait se révolter quand les policiers allaient l'escorter jusqu'au bureau du substitut, ce qui a obligé les forces de l'ordre à le menotter. Il a dû attendre son interrogatoire encore endormi mais en position debout, au grand étonnement des gens. L'incident s'est terminé par un placement sous mandat de dépôt à Antanimora.

Wednesday, February 21, 2007

Music awards : RDJ Mozika 2006 :Les votes sont très serrés .

Si l’année dernière, « RDJ Mozika award » a vu le jour, voici que cette cérémonie consistant à recompenser les meilleurs artistes, va tenir sa deuxième édition. Les votes ont déjà commencé et actuellement, les voix obtenues par les artistes nominés sont très serrées.
Et de deux pour RDJ mozika !
En effet, la deuxième édition de « RDJ mozika award » va se tenir le vendredi 16 mars 2007 prochain et sera retransmise en direct sur la chaîne Mbs. Cette cérémonie qui se veut être la référence en matière de notoriété pour les artistes est une initiative de l’équipe de la Radio des Jeunes ( RDJ FM 96,6).
« On n’a pas voulu trop changer le concept par rapport à l’année dernière. Tout sera de mise afin que les artistes pourront vraiment se réjouir de leur notoriété lors de cette cérémonie » nous a confié Tahiana Rasolojaona, manager de cette station.
Les votes ont déjà commencé par le biais du sms ainsi que sur le site, www.rdeejay.net. Près de 18 000 voix ont pu être recueillis jusqu’à l’heure actuelle.
A noter que 11 catégories sont proposées aux auditeurs afin qu’ils puissent élire le meilleur « mozika R’n’b-Rap » qui se battent entre Raboussa et 18,2, puis le « mozika variété » où Lôla et Rah-ckiky sont en pôle position,« mozika soft » avec Ambondrona en tête du peleton, « mozika duo » qui est très serré vues que les voix obtenues par les quatre titres ne sont pas beaucoup. De même pour la « mozika évangélique ». Par contre, Tsiliva mène la tête dans la catégorie « mozika mafana ». La bataille est très serrée dans les catégories « mozika rock », « voix féminine », « voix masculine » et surtout la révélation.
Sans parler de la catégorie « spectacle de l’année » où les cinq formules se talonnent de très près. Pour le meilleur artiste de l’année, aucun nom n’a été proposé mais le public est libre de voter qui ils veulent. Et le nom qui se répète à plusieurs fois sera designé « artiste de l’année ».
A part les votes qui se fassent sur sms et sur le site, il existe également une émission spéciale donnant une occasion aux auditeurs de voter. L’intervention en direct sur l’antenne vaut un vote. Et prochainement, il y aura un jeu permettant à une cinquantaine de public de gagner une invitation les donnant accès dans les coulisses et un emplacement près des artistes.
Ce qui va spécifier cette deuxième édition est également la présence de plusieurs personnalités issues du milieu culturel. Des personnes qui vont remettre les trophées aux meilleurs artistes. « Le but est de pouvoir représenter toutes les disciplines de l’art tels art littéraire, art plastique, et tant d’autres », a continué le boss de RDJ.
Les artistes sont sûrement à 90% sur écoute du résultat de ce « award » tous les jours. Et à Tahiana de confirmer, « ils sont plusieurs à demander le résultat jounalier qui est disponible sur le site, mais comme le résultat n’est pas encore stable, tout est encore possible ».
Dans l’attente du dernier résultat qui ne sera connu qu’à la dernière minute, le vote est encore ouvert !

Ces portables qui inondent les marchés de Tana et des provinces …

Un téléphone portable qui rend ironiquement l’âme après quelques jours d’utilisation, alors que la facture d’achat attestant qu’il s’agit d’un poste neuf, traîne encore sur la table, est devenu monnaie courante.

Détrompons-nous, l’éclat du teint irréprochable de ces appareils dissimule bien leur véritable santé. Ce sont des postes recyclés ou même ramenés à la vie, non pas par simple réparation, mais pire, par assemblage de pièces détachées ajustées au pif, souvent sans respect de la correspondance.

Ces cadavres de téléphones, ou plutôt ces fatras de pièces téléphoniques, d’après les proches de ces revendeurs insidieux, ont été achetés au kilo dans on ne sait quel dépotoir sud-est asiatique, et engouffrés dans des cartons à l’aspect de foutoir afin d’éviter la taxe de la douane. En tout cas, ces «ramasseurs de déchets» ne rendent-ils pas un fier service aux vendeurs en les leur débarrassant gratuitement ?

A Madagascar, les déchets en question, après avoir traversé huit ou neuf milliers de kilomètres changent complètement de look pour devenir des objets de prestige qui font la fierté des acheteurs, les simples gens qui les collent avec des gestes esthétiques à l’oreille, sans savoir que leur idylle avec cet objet sera éphémère.

Pour les clients les moins complaisants, la réclamation s’avère de rigueur. Mais les marchands, prétextant qu’il ne s’agit que d’une imperfection en cas isolé, échangeront votre mauvais poste contre un autre qui est loin de valoir mieux. Et ainsi de suite. Misant sur l’usure morale du client, le marchand accepte sans faire preuve du moindre emportement, de changer votre poste contre un autre aussi faux que sa moralité même, jusqu’à ce que le délai de garantie expire.

Un cas concret. Au temps où les Nokia 3110 ont commencé à perdre leur cote et que les bourses modestes ont louché sur ce portable, une boutique, profitant du béguin nostalgique des gens et de leur précipitation pour l’acquérir, en a proposé à un prix soi-disant abordable. Surprise ! Après la première recharge de la batterie, le téléphone ne faisait déjà pas preuve de santé. Revenue au magasin, la cliente, partagée entre la rancœur lui dictant de rendre définitivement le poste et le désir de le remplacer par un autre «peut-être» mieux portant, finit par accepter la seconde solution subtilement proposée au moyen d’une voix bien étudiée pour être la plus câline possible et faussement contrite de la vendeuse.

A toute cette arnaque, deux solutions aussi incommodantes l’une que l’autre sont possibles. Soit que vous achetez votre téléphone portable en Asie ou en Europe, soit que vous serrez la ceinture pour acheter un poste onéreux qui vous offre plus de chance d’avoir un en bonne santé. Pour ceux qui ne peuvent se permettre ces deux alternatives - la majorité bien entendu - ils n’ont qu’à jouer à la roulette russe avec ces «marchands arnaqueurs».

Après tout, à quoi bon réagir ? Madagascar, inondé de friperies et de voitures d’occasion ne jouit-il pas déjà, et cela depuis belle lurette, de l’étiquette de dépotoir des pays avancés ? Et la culture du médiocre ne s’est-elle pas déjà enracinée dans le quotidien d’une population victime du manque de scrupule des plus malins ?

10% des couples malgaches sont stériles

«L’enfant est la plus grande richesse. On se marie pour avoir des enfants», disaient les ancêtres. Malheureusement, la stérilité se répand, menaçant aujourd’hui deux couples sur dix.

D’après le ministère de la Santé et du planning familial, 15% des couples ont de sérieuses difficultés à concevoir des enfants et 10% sont entièrement stériles. Diverses raisons d’ordre sanitaire, social et psychologique peuvent être à l’origine du problème.

Selon le docteur Narindra Rajaonarivelo, gynécologue, «l’avortement provoqué est la cause la plus courante». Le curetage, la méthode d’avortement la plus utilisée – et à laquelle 248 femmes tananariviennes recourent chaque jour, déchire l’utérus, le col et les trompes et empêche ainsi le fœtus de demeurer dans le ventre.



Manque d’amour et de libido

Outre l’avortement, le manque de rapports sexuels est la seconde cause de la stérilité. Dr Narindra Rajaonarivelo explique que ce manque peut concerner aussi bien la fréquence, la durée, que la qualité des rapports. «L’idéal serait qu’un couple d’une trentaine d’années, l’âge le plus propice à la conception, ait quatre ou cinq actes sexuels d’une durée de vingt minutes en une semaine, et au minimum deux», explique-t-elle. «Le lieu, le moment et les positions devraient changer souvent pour que les rapports ne deviennent pas un simple devoir conjugal».

Dans ce domaine, les couples de la capitale sont devancés par ceux des côtes. Et pour cause, la vie quotidienne est moins pressante sur les côtes. Les Tananariviens sont plus soucieux de l’argent, du confort et des problèmes sociaux, et passent un temps exagéré au travail. En conséquence, ils passent moins de temps au lit, encore moins à aimer leur partenaire.

La précocité des rapports sexuels, l’utilisation prolongée de la pilule contraceptive peuvent également causer des problèmes. Enfin, l’incompatibilité des groupes sanguins du couple et l’existence d’un problème propre à l’un d’entre eux ne sont constatées que dans 10% des cas de stérilité. Bref, le problème peut être évité si chacun se respecte et respecte l’intimité du couple.

Attention : les vitres teintés sont prohibés à Madagascar


La police et la gendarmerie font actuellement la chasse aux véhicules à vitres teintées. Les contrevenants sont immédiatement verbalisés par une amende assez lourde, et les récidivistes se voient leurs voitures conduites purement à la fourrière.

C’est pour faciliter le contrôle des passagers lors d’un barrage de police et améliorer la visibilité, donc la sécurité du véhicule, que le gouvernement a pris cette mesure.

caméra caché


caméra caché
Vidéo envoyée par pylote

Caméra caché : auto-stopeurs


Caméra caché : auto-stopeurs
Vidéo envoyée par arborista
C'est surement la dernière fois qu'ils ont fait du stop...

caméra caché literie


caméra caché literie
Vidéo envoyée par Tocardo26
A quand votre tour ?

Caméra caché : la limonade


Caméra caché : la limonade
Vidéo envoyée par silt4
Petite caméra cachée : juste pour rire

Jean Yves Lafesse - Pourvu que ça dure


Jean Yves Lafesse - Pourvu que ça dure
Vidéo envoyée par NeRoMe

Tanga


Tanga
Vidéo envoyée par Calvert30
Une caméra caché avec des filles... sexy !

chatscade de chats


chatscade de chats
Vidéo envoyée par lithium75
http://www.nondidju.org

danceur_remixe_Chanson Said


danceur_remixe_Chanson Said
Vidéo envoyée par bacha39

Fugees - Killing Me Softly


Fugees - Killing Me Softly
Vidéo envoyée par LDave59

Douche


Douche
Vidéo envoyée par LDave59

ECHO LE PET


ECHO LE PET
Vidéo envoyée par LDave59

Se Débarrasser Du Chien


Se Débarrasser Du Chien
Vidéo envoyée par LDave59

Tuesday, February 20, 2007

DIVERS

PENURIZ


De Mahajanga à Mampikony en passant par Toliara, Nosy-Varika et Mananjary, Antsirabe, Amparafaravola et la plaine d’Antananarivo, les pluies incessantes ont détruit presque 90% des rizières et d’autres champs de cultures. Les dégâts sont considérables dans certaines régions au point de faire planer l’insécurité alimentaire dans quelques semaines, d’après le bilan provisoire du bureau national de la gestion des risques et catastrophes (BNGRC).

Plus de 45.000 hectares des zones rizicoles ont été détruits par les pluies incessantes. La perte est ainsi évaluée à 200.000 tonnes de riz pour cette saison si on l’estime entre 2,5 et 5 tonnes à l’hectare de production suivant la technique culturale appliquée. Nosy-Varika est le plus frappé avec une superficie inondée de plus de 20.200 hectares, faisant vivre 85% de la population, soit 52.600 ménages. À Amparafaravola et Mampikony, la situation n’est pas plus reluisante. La moitié des surfaces rizicoles se trouvent également sous l’eau. À Mananjary, Antsirabe et Ambatolampy, 80% des champs de culture ont été détruits. Conséquence : l’insécurité alimentaire frappera à la porte de la population dans quelques semaines, faisant déjà appel à des interventions d’urgence.

«L’importation de riz est à prévoir. Il est urgent de faire l’état des lieux des dégâts et d’identifier les besoins des paysans avec toutes les autorités compétentes pour prendre la bonne décision», a déclaré le président Ravalomanana à l’aéroport d’Ivato,

Voulant constater de visu le vécu des sinistrés, le président Ravalomanana a effectué une visite éclair au site d’Anosibe-Zaivola. «Nos riz, produits de trois rizières, sont inondés. Nous n’avons plus de quoi mettre sous les dents», s’est plainte une mère de famille. Pour d’autres, «Même les semences n’ont pas été sauvées à temps».

Interrogé sur les actions qu’il allait entreprendre, le département de l’Agriculture a promis de doter de semences les régions les plus frappées par ce cataclysme naturel. En attendant, le BNGRC, avec le concours des partenaires, fait de son mieux pour prendre en charge les sinistrés : hébergement, soins et dotation en vivres. «Il faudra attendre que l’eau se retire avant d’identifier les zones nécessitant une aide d’urgence. La réhabilitation des infrastructures d’irrigation devra aussi figurer parmi les priorités», explique-t-on du côté d’Anosy.

MUSIQUE

Vaomanohy et Sanga’Hay dans Mozika Vaovao

Le concept de tremplin musical Mozika Vaovao élargit sa mission et ouvre ses portes à la musique traditionnelle. Vaomanohy et Sanga’Hay inaugureront le style ce mercredi à 16h au CCAC dans une ambiance de totale découverte. Sanga’Hay a été créé en 1998 mais a déjà effectué des concerts dans divers lieux de la capitale dont l’AFT et le Glacier. Leur musique traditionnelle se fusionne avec des rythmes divers comme la techno, le funk et le séga.

Vaomanohy est un auteur compositeur qui ambitionne une carrière au-delà des frontières avec une musique évocatrice, tantôt fluide, tantôt battante. Il a déjà composé pour des œuvres chorégraphiques de différentes compagnies de danse et de cirque. Il a même déjà effectué un petit passage dans les îles voisines et dans le grand sud du pays.

A l'avenir, le pétrole sera plus coûteux et son extraction plus polluante

La planète recèle 3 600 milliards de barils de pétrole "non conventionnel" enfouis très profondément ou sous forme de pétroles lourds, indique un rapport du cabinet d'études écossais Wood Mackenzie, publié lundi 13 septembre.

A ce jour, 8 % de ce pétrole non conventionnel est exploité ou en passe de l'être. Seuls 15 % de ces 3 600 barils correspondent à du pétrole lourd à extra-lourd, le reste étant encore plus difficile à exploiter, précise le cabinet d'études de référence en matière d'hydrocarbures. Washington avance une estimation des réserves mondiales "ultimes" de pétrole à 2 275 milliards de barils. Mais un groupe de pétrogéologues indépendants et pessimistes, réunis au sein de l'ASPO, Association pour l'étude du peak oil, table sur seulement 1 750 milliards de barils.

L'étude de Wood Mackenzie souligne que la transition vers les pétroles non conventionnels pourrait devenir nécessaire plus vite que ce qu'affirment en général les experts de l'industrie pétrolière. Bien qu'après 2020, certains champs de pétrole conventionnel majeurs verront encore leur production croître, ces augmentations ne suffiront pas à compenser le déclin des autres principaux champs, précise Wood Mackenzie.

DÉCLIN ANNONCÉ DU PÉTROLE CONVENTIONNEL

Se reposer de plus en plus sur les pétroles non conventionnels nécessite une réorganisation importante de l'industrie énergétique. L'extraction des pétroles extra-lourds requiert de grandes quantités d'eau, de gaz naturel et de solvants : une opération plus chère, polluante et gourmande en énergie que pour les pétroles conventionnels.

Les grandes compagnies occidentales exploitent déjà des roches bitumeuses – un pétrole extra-lourd, notamment au Canada et au Venezuela. Mais le rythme d'investissement dans les pétroles non conventionnels demeure lent. Leur place reste marginale. Dans son rapport de 2005, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) table sur une production de seulement 2 millions de barils par jour (mbj) en 2025. La consommation actuelle tourne autour de 85 mbj.

Selon Wood Mackenzie, " après 2020, il n'est pas certain que le pétrole conventionnel sera capable de répondre à l'augmentation de la demande". Le directeur des études économiques de l'AIE, Fatih Birol, prédisait en septembre 2005 dans les colonnes du Monde que les extractions hors pays de l'OPEP – soit la moitié de la production mondiale – amorceront leur déclin "juste après 2010" .

D'après Fatih Birol, "la Terre contient beaucoup de pétroles non conventionnels (...) mais il est techniquement impossible et écologiquement malsain d'extraire ces pétroles à un rythme élevé". Un précédent rapport de Wood Mackenzie indiquait que la taille moyenne des nouveaux champs pétroliers découverts depuis 1999 n'a jamais été aussi faible depuis le début du XXe siècle.

Monday, February 19, 2007

ANTANANARIVO


ANTANANARIVO
Vidéo envoyée par MENAMANGA
Revoir Tana lieu de ma naissance
Revoir Tana, c'est ma joie
Revoir Tana ville de mon enfance.....

La chanteuse Volatiana épingle en flagrant délit un vendeur de VCD pornos diffamatoires

Suite à la vente de VCD pornographiques où des photos d’artistes féminins se trouvent sur les jaquettes à la place des actrices qui jouent le film, la chanteuse et actrice Volatiana a donné sa version des faits, samedi, lors du déferrement de six individus, dont un mineur.

Le jeune vendeur avait été arrêté le 14 février à la station-service Total de Bel Air alors qu’il essayait de vendre des VCD pornographiques soi-disant de Volatiana. Sa stratégie de vente était simple : héler les automobilistes, notamment ceux en train de s’approvisionner dans les stations-service. Or, la voiture qu’il a interpellée ce jour-là appartenait justement à l’actrice. Laquelle était assise sur la banquette arrière avec des amis, mais que le garçon n’avait pas aperçue. Le garçon voulait fuir, mais a pu être maîtrisé grâce à l’aide d’un policier qui se trouvait non loin de la station-service. Emmené au poste de police, il a dénoncé son fournisseur. Ce dernier fera alors l’objet d’une descente à Analakely où les policiers ont procédé à son arrestation. Cinq autres personnes ont été également appréhendées, dont l’une sera relaxée car elle n’avait pas sur elle des VCD pornographiques «de Volatiana». Les quatre autres en possédaient dont plusieurs avec des actrices… malgaches. Et la photo de Volatiana figurait bel et bien sur une jaquette.

Après avoir visionné le VCD, le film était effectivement pornographique mais l’actrice était une autre, pas Malgache en tout cas si l’on se réfère au décor. Le teint de l’actrice était le même que celui de Volatiana, ce qui a permis aux truqueurs de monter sa photo sur la jaquette. Ce qui est écœurant, selon Volatiana, c’est de savoir que d’autres artistes malgaches ont été victimes de la même machination. Volatiana, elle, a déposé une plainte pour diffamation et humiliation de sa personne. La police, pour sa part, accuse les présumés coupables de diffamation et usurpation. L’artiste a rajouté dans sa plainte le fait qu’elle a fait récemment l’objet de la visite de 20 individus suspects chez elle et à son bureau. Une visite frisant une menace à peine voilée.

Par ailleurs, Volatiana a tenu à souligner que les lois sur les films pornographiques ne sont pas nettes malgré une interdiction formelle de vente décrétée il n’y a pas longtemps. En fait pour elle, c’est l’application de cette interdiction qui tarde à se concrétiser. Elle souhaite vivement sa promulgation au niveau de l’Assemblée nationale.

Sunday, February 18, 2007

Apres les pièces de voitures, les organes humains…

Apres les pièces de voitures , les organes humains…

Panique à Farafangana. Des disparitions inexpliquées traumatisent la population locale. Une jeune femme âgée de 20 ans reste introuvable depuis quelques semaines. Néanmoins, ses proches et les autorités locales ne désespèrent pas.
La disparition de la jeune femme reste un mystère. Personne ne connaît exactement les circonstances de la disparition. “Elle a quitté la maison parentale et n'est plus revenue”, a-t-on appris d'un membre de sa famille.
Trafic d'organes ?
Dans la ville de Farafangana et ses environs, la rumeur concernant le trafic d'organes continue de circuler. En effet, le cadavre d'une femme en décomposition avancée a été découvert près de la cité des fonctionnaires dans la capitale de la région Atsimo-Antsinanana, le 26 décembre 2006. “Les seins, le cœur et les reins de la victime ont disparu”, “Les auteurs du crime restent inconnus" raconte Albert Andriantsalama, chef de district de Farafangana.
Autre histoire, une fillette âgée de 12 ans a échappé de justesse à ses ravisseurs. Ses parents déclarent qu'elle a été enlevée en plein cœur de Farafangana au moment où elle allait faire ses courses. “Fort heureusement, elle a pu se sauver quelques temps plus tard”, déclare un responsable local.
Malgré les mesures de sécurité prises par les autorités, aucune arrestation n'a encore été faite jusqu'ici. Aussi, la méfiance envers les personnes étrangères à la région ne cesse de s'agrandir.

Vendre ses organes en toute légalité?

"Des médecins américains militent pour un commerce régulé des parties du corps, déjà légal en Iran. C'est le seul moyen, plaident-ils, de remédier à la pénurie des donneurs et au marché noir. Et pourquoi pas en Suisse ?"

"Pour pallier le manque de donneurs d'organes, les Etats-Unis songent à autoriser le commerce des viscères humaines en chargeant une agence gouvernementale de réguler ce nouveau marché financier. Les deux principaux auteurs de l'initiative, Eli et Amy Friedman, sont médecins, le premier à l'Université de l'Etat de New York, l'autre à celle de Yale. Ils viennent de relancer le récurrent débat sur ce sujet dans la revue Kidney International. En 2004, le Congrès américain avait déjà refusé un projet de libéralisation de la vente d'organes, au motif qu'il s'agissait d'un 'viol pur et simple de la dignité humaine'.

Le lobby de la libéralisation constate que les efforts entrepris pour encourager les dons ont failli. Les chiffres parlent d'eux-mêmes: officiellement, 65000 personnes patientent sur une liste d'attente aux Etats-Unis, et, chaque année, plus de 3000 meurent faute d'avoir trouvé un greffon. Certaines sources mentionnent des chiffres encore plus imposants: il y aurait ainsi près de 400000 Américains désespérant de recevoir un nouveau rein. En Suisse, un millier de personnes figurent sur liste d'attente; une quarantaine sont décédées l'année dernière avant d'avoir pu être greffées. Malgré cela, le gouvernement helvétique tient à maintenir la gratuité du don d'organes - principe expressément stipulé par la loi sur les transplantations. En France, 10000 personnes attendent un nouveau rein, et seul un tiers d'entre eux trouverait un donneur. La pénurie d'organes serait responsable de 400 décès prématurés par année en Grande-Bretagne.

La loi américaine de 1984 interdit la vente d'organes humains. Elle punit de 50000 dollars d'amende et de 5 ans de prison tout contrevenant. Le désespoir des patients a pourtant permis la mise en place d'un marché noir, en pleine expansion depuis les années 1980. Un corps humain est actuellement estimé à 220000 dollars. En 2003, le Prix Nobel d'économie Gary Becker a calculé le prix du marché d'un rein pour un Américain moyen: 45000 dollars. Le même organe en coûte 20000 de moins en Chine, où l'on peut aussi acheter un foie pour 40000 dollars et une cornée pour 5000 dollars. Le tourisme de la transplantation toucherait une dizaine de pays, selon des rapports établis par les ONG Amnesty International et Organs Watch: Brésil, Bulgarie, Haïti, Inde, Mexique, Moldavie, Mozambique, Pakistan, Paraguay, Pérou, Roumanie, Salvador et Turquie. Des milliers de greffes illégales seraient ainsi effectuées chaque année au profit de riches clients.

Les Suisses trempent-ils dans ce commerce? 'Il n'y a pas de marché noir à l'intérieur du pays, c'est certain. Notre organisation hospitalière ne le permet pas', souligne Dominique Belli, médecin-chef aux Hôpitaux cantonaux universitaires genevois (HUG). Mais on ne peut pas exclure que des patients n'ayant pas encore trouvé de greffon se rendent à l'étranger pour se donner une deuxième chance. Certains pays sont plus laxistes: 'La vente d'organes est déjà autorisée en Iran', déclare Conrad Müller, directeur de Swisstransplant.

(...)

Pour le Dr Dominique Belli, la solution ne se trouve pas dans la création d'un marché financier: 'Le problème serait résolu si toutes les personnes qui pouvaient donner donnaient.' Les sondages montrent que 8 Suisses sur 10 ont une opinion positive sur le don d'organes, mais seule une personne sur dix détient une carte de donneur.

Dans les petits hôpitaux, il arrive que l'infrastructure manque pour effectuer les prélèvements. Des greffons sont ainsi perdus. 'Avec une loi semblable à la nôtre, l'Espagne compte trois fois plus de donneurs que la Suisse, parce que le gouvernement injecte chaque année des millions d'euros dans les établissements hospitaliers', explique le Dr Belli."



ny vehivavy - LOLA


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Rehefa Any ZAY


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Izaho sy Ianao - KIADY


Izaho sy Ianao - KIADY
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Aniah Ft. Xtah - Mankafy


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Samia mamisarisa_dedesse,bodo,rivera,...


Samia mamisarisa_dedesse,bodo,rivera,...
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Tsotr' Izao - ZAY


Tsotr' Izao - ZAY
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Voarara Zay


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betina_DJ si$si


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tsy maninona


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AVSEQ13


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CLIP Petsam-bava - Zoky (salegy)


CLIP Petsam-bava - Zoky (salegy)
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Fitiavako_masiaka


Fitiavako_masiaka
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io ilay hira laniah a!!!! mankafiza

MADAGASCAR


MADAGASCAR
Vidéo envoyée par MENAMANGA
Haut plateau de Madagascar

Zanahary ô tahio ny tanindrazanay
Handroso lalandava, handry fahizay
Enga anie anjaka ao ny saina mahay miray
Dia ho tany sambatra ilay MADAGASIKARANAY.

Reo mpitondranay arovy lalandava koa
Tolory saina hendry, kinga sy mahay
Ka ny marina anie no tena hanjaka ao tokoa
Dia ho tany sambatra ilay Madagasikaranay.

Ny taranakay, tahio ho vanona tokoa ;
Ireo no solofo, ndimby, rahatrizay
Mba ho tena mahatoky, feno fahendrena koa
Dia ho tany sambatra Ilay Madagasikaranay.

Fouhehypartthree


Fouhehypartthree
Vidéo envoyée par F-Hery

SAMY MALAGASY


SAMY MALAGASY
Vidéo envoyée par hayora72

Miangavy LÔLA


Miangavy LÔLA
Vidéo envoyée par claudiorandri

CLIP Jaojoby - Malemilemy (salegy)


CLIP Jaojoby - Malemilemy (salegy)
Vidéo envoyée par mahery92

Solafaka


Solafaka
Vidéo envoyée par manitry
ho antsika mankafy kalon'ny fahiny t@ radio madagasikara

Tsy afaka ao an-doha


Tsy afaka ao an-doha
Vidéo envoyée par zanjy

Saturday, February 17, 2007

Doc " Les Enfants Tueurs De Colombie "


Doc " Les Enfants Tueurs De Colombie "
Vidéo envoyée par fanstes
Documentaire "Les Enfants Tueurs De Colombie"
Envoyé Spécial 2005






DOCUMENTAIRES "Pierre Carles":


"Pas vu,Pas pris":

PART 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf9j1_doc-pas-vupas-pris-12


PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf9g0_doc-pas-vupas-pris-22



Enfin pris:

PART 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg5vf_doc-enfin-pris-12


PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg5q5_doc-enfin-pris-22



Danger Travail:

PART 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xhuhm_danger-travail-pierre-carles-part1


PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xhunq_danger-travail-pierre-carles-part-2





DOCUMENTAIRES:


Afrique 50: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xki2i_afrique-50-rene-vautier




Les zoos humains: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg02z_doc-les-zoos-humains




La loi de la jungle: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg051_doc-la-loi-de-la-jungle




Compay Segundo "Une légende cubaine": http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf8py_compay-segundo-une-legende-cubaine



El Che:

Part 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf8vr_doc-el-che-12


PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf8si_doc-el-che-22




Pablo Escobar El Terror De Colombia: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf9n8_pablo-escobar-el-terror-de-colombia



Pablo escobar Doc de choc: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf8yy_pablo-escobar-doc-de-choc



Les Enfants Tueurs De Colombie: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf9pz_doc-les-enfants-tueurs-de-colombie



MS-13 "Enquête Exclusive":


PART 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg4m8_doc-ms13-enquete-exclu-12


PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg4iw_doc-ms13-eex-suite-22




Drogues Et Cerveaux: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg0lu_drogues-et-cerveaux




"The Grass" aux USA:

PART 1: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg1qj_doc-the-grass-12



PART 2: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xg1i3_doc-the-grass-22




Hash Marijuana Infos Museum: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xf8jx_doc-hash-marijuana-infos-museum




Téléphonie Mobile: http://www.dailymotion.com/fanstes/video/xj30g_telephonie-mobile




Mon blog: http://fanstes.musicblog.fr

Les OGM sont-ils dangereux ?


Les OGM sont-ils dangereux ?
Vidéo envoyée par itri2002
Les experts l'affirment : manger des OGM est sans danger pour la santé. Et tous les ans de nouveaux OGM arrivent dans notre assiette. Pourtant, aujourd'hui deux nouvelles études scientifiques révèlent un risque toxique.

Pour 90 MINUTES, Michel Despratx raconte l’histoire d’une étude secrète sur un maïs OGM. Sous couvert du secret industriel, le ministère de l’Agriculture français n’a pas voulu rendre public les résultats, alors qu’ils sont inquiétants. Cette étude montre que le maïs OGM a provoqué des lésions sur les organes des rats de laboratoire qui en ont mangé.
Comment une agence gouvernementale française, chargée de veiller à la santé des citoyens, ainsi que les instances européennes, ont-elles pu donner leur feu vert à cet OGM en connaissant cette étude ?

90 MINUTES a mené l’enquête en France, en Allemagne, au Luxembourg et à la Commission européenne à Bruxelles.

L'enquête révèle qu’une autre étude sur un soja OGM faite par des chercheurs italiens indépendants a mis en évidence que des souris ont subi des altérations de cellules de leur pancréas.

Friday, February 16, 2007

Echo de la Saint Valentin :De l’huile bouillante en réponse à une déclaration d’amour

Un jeune homme de 20 ans a reçu en plein visage de l’huile bouillante prête à frire des nems, à Ambohimangakely. L’auteur du coup est une jeune fille de son âge vendant des nems tout en tenant un taxiphone.


Les deux personnes se connaissent bien, étant voisins de longue date. Au fur et à mesure de l’avancement de leur âge, les taquineries se sont transformées en un jeu délicat, surtout pour le jeune homme qui avait un faible pour sa voisine.

Depuis un certain temps, il éprouvait du mal à déclarer son amour et cherchait toutes sortes d’astuces pour essayer d’attirer l’attention de la jeune fille. Laquelle semblait s’y désintéresser du fait qu’elle sortait déjà avec un autre. Mais le jeune homme ne désespérait pas de la conquérir un jour et continuait à lui faire la cour. C’était justement le cas ce matin-là où il voulait s’amuser un peu après s’être occupé de ses tâches quotidiennes. La jeune fille, à cet instant, s’apprêtait à frire des nems et était en train de chauffer l’huile…

Comme d’habitude, les taquineries ont repris de plus belle. On ignore cependant ce qu’ils se sont dit, mais leur conversation s’est terminée en une dispute. Le jeune homme s’est éloigné avec un air déçu, tandis que la fille, emportée par une rage incompréhensible, s’est saisie de la poêle à frire pleine d’huile bouillante qu’elle a lancée au visage de son soupirant. Lequel, avec un petit réflexe, s’est protégé de son bras droit, sinon il aurait perdu à jamais l’usage de ses yeux.

Après avoir consulté d’urgence un guérisseur, le jeune homme a été évacué à l’hôpital. Entre-temps, la jeune fille a prétendu avoir reçu un coup de pied sur le ventre alors qu’elle était enceinte d’un mois. Pire, le jeune homme aurait lui-même renversé la poêle et l’huile se serait renversée sur son visage. Mais des témoins oculaires contrediront ses assertions du début jusqu’à la fin de l’enquête, si bien que lors du déférement de l’affaire au parquet hier, elle a été placée sous mandat de dépôt en attendant le procès qui aura lieu le 21 février.

Thursday, February 15, 2007

Misère : Il y a pire ailleurs

Le Zimbabwe bat désormais tous les mois un record : celui du plus haut taux d'inflation au monde. Ce mois-ci, une nouvelle étape vient d'être franchie, avec un taux qui frôle les 1 600 %. La colère gronde dans les rangs des fonctionnaires, les salariés les plus lésés par cette hausse vertigineuse des prix. Depuis janvier, les internes des hôpitaux sont en grève, rejoints par les médecins titulaires puis par les infirmières et, récemment, par les enseignants.

Les étudiants ont également manifesté, lundi 12 février, pour protester contre l'augmentation des frais d'inscription, passés de 60 000 à 560 000 dollars zimbabwéens. Une cinquantaine de jeunes, ainsi que quelques enseignants, ont été interpellés. Douze personnes étaient encore retenues, mercredi, par la police.

Malgré l'augmentation récente de 400 % du salaire de tous les agents de l'Etat, il est quasiment impossible de vivre avec les traitements versés. Le salaire mensuel d'un interne des hôpitaux suffit à peine pour faire un plein. Les fonctionnaires essaient tous de trouver une seconde source de revenus : petit commerce, cours particuliers ou travail au noir afin de subvenir aux besoins de leurs familles.

Dans les grandes villes, les infrastructures se dégradent, faute de pièces de rechange et de maintenance. Il y a eu des cas de choléra à Harare et plusieurs villes de province connaissent, comme la capitale, des coupures d'eau et d'électricité. Les services de santé manquent de matériel et de médicaments mais aussi de personnel, des centaines d'infirmières et des dizaines de médecins ayant fui le pays ces cinq dernières années, le plus souvent pour la Grande-Bretagne.

On estime qu'environ 4 millions de Zimbabwéens (sur 13 millions) ont émigré, les deux tiers vers l'Afrique du Sud voisine. Ils envoient régulièrement des devises étrangères qui, changées au marché noir, peuvent faire vivre des familles entières. Il existe même un site Internet où les expatriés peuvent faire leurs courses depuis Londres ou Johannesburg et demander la livraison à leur famille restée au pays.

Le président Robert Mugabe attribue la crise économique aux sanctions imposées par les Etats-Unis et l'Union européenne. Ces mesures ne touchent pourtant que les déplacements et les avoirs à l'étranger des caciques du régime. La crise a débuté à la fin des années 1990 et s'est aggravée après la réforme agraire qui a conduit à l'éviction de plus de 4 500 fermiers blancs. Les plus belles propriétés ont été attribuées à des proches de M. Mugabe. La production nationale de céréales s'est effondrée ainsi que celle des produits d'exportation comme le tabac, qui apportait des devises.

Alors que les Zimbabwéens luttent pour manger à leur faim ou envoyer leurs enfants à l'école, le parti de Robert Mugabe vient d'annoncer l'organisation d'une grande collecte pour l'anniversaire du président, qui fêtera la semaine prochaine ses 83 ans.

Sexe contre essence

Dans la province du Midlands, il existe une forme de prostitution atypique. Des femmes de cette région centrale du Zimbabwe échangent leurs faveurs contre de l’essence, et non contre de l’argent. Le phénomène serait nouveau, mais pas généralisé, si l’on en croit l’association des droits de l’homme Zim Rights. Des reportages en font toutefois état « dans le district de Mvuma, qui est une ville frontière entre les provinces de Midlands et Masvingo. Cela se passe le long de la route Beitbridge, qui va en Afrique du Sud », nous rapporte Zim Rights.

L’essence a prix d’or sur le marché noir

De nombreux camions passent en effet sur cette route et les routiers seraient une cible privilégiée. Cependant, « il est possible que quelqu’un qui soit prêt à céder de l’essence soit aussi client de ces travailleuses du sexe », souligne Zim Rights. « C’est vraiment alarmant que des femmes échangent du sexe contre des récipients de 20 litres de diesel ou de pétrole. Elles disent que c’est beaucoup plus rentable que d’être payé en liquide », confiait en novembre le porte-parole de la police, Costa Taduwa, au quotidien zimbabwéen Daily Mirror.

Il faut dire que la valeur du dollar zimbabwéen souffre depuis de nombreuses années d’une inflation galopante, tournant autour de 1 000%. Quant à l’essence, elle se fait rare dans le pays depuis de nombreuses années. Alors, même si le gouvernement a fixé le prix à la pompe à 300 dollars zimbabwéens (ZWD) le litre, soit 0,9 centimes d’euro, il est vendu environ 2 000 dollars ZWD le litre (environ six euros) dans les stations privées ou sur le marché noir, selon le journal Zim Observer.

La menace du sida

Du coup, certaines prostituées préfèrent être payées en nature et de nombreux automobilistes guettent les chauffeurs routiers. « Le long de la route Beitbridge et de toutes les routes du Zimbabwe, vous voyez des hommes avec des récipients qui attendent que les chauffeurs routiers leur vendent de l’essence », explique Zim Rights. Les automobilistes ne risquent rien, mais, pour les travailleuses du sexe, c’est une autre histoire. La prostitution est illégale au Zimbabwe et elles risquent d’être arrêtées pendant leur transaction. « Nous avons arrêté quelques coupables lors de nos raids réguliers à Fairfields et Chaka Business Centres qui ont confessé s’être engagées dans cette pratique », a expliqué Costa Taduwa.

Une récente étude sur la prostitution au Zimbabwe, menée par le Fonds des Nations Unies pour la population, ne fait pas mention d’échange de sexe contre de l’essence. En revanche, d’autres commodités sont « troquées » au point d’escale pour les chauffeurs routiers situé à la frontière avec l’Afrique du Sud. « A Ngundu Growth Point des travailleuses du sexe sont payées en nature par des resquilleurs d’Afrique du Sud ou des Zimbabwéens travaillant en Afrique du Sud et revenant au Zimbabwe pour voir des proches », selon deux employées de l’organe onusien ayant travaillé sur le terrain.

D’après l’article du Daily Mirror, la situation inquiète l’hôpital de Mvuma, qui estime que le taux d’infections sexuellement transmissibles a fortement augmenté à cause de la promiscuité et de la prostitution, surtout chez les jeunes. Gladys Takawira, infirmière en chef de l’établissement hospitalier, a confié au journal que le nombre de cas avait augmenté de 35% au cours des cinq derniers mois.

Le célèbre footbaleur, devenu un authentique voleur

Bénéficiant d’une liberté provisoire à l’issue d’une instruction au Parquet, Gariste Daméogeonie, comptable au ministère des Finances, en a profité pour disparaitre. Le procureur de la République a émis un mandat d’arrêt à son encontre pour détournement de 8,4 milliards ariary au préjudice du ministère des Finances.

L’ancien international de football et ex-comptable au ministère des Finances, Gariste Daméogeonie, est poursuivi pour détournement de fonds. Il est soupçonné d’avoir détourné 8,4 milliards ariary.

Le procureur de la République, Lala Andrianasolo Ramiandrarivo a prononcé un mandat d'arrêt contre Gariste Daméogeonie pour détournement de deniers publics au préjudice du ministère des Finances. Ce membre de la Fédération malgache du football (FMF) et président fondateur du club Usjf Ravinala est accusé d'avoir détourné près de 8,4 milliards ariary.
Cette somme est répartie en deux affaires impliquant des dizaines de personnes. La première porte sur près d'un milliard ariary. Il s'agit de remboursements de frais médicaux des fonctionnaires entre mars et novembre 2006.
Pour les 7 milliards, le délit remonte en 1998. Il s'agit toujours des remboursements des frais de prise en charge des fonctionnaires. Déféré au Parquet le 15 janvier pour la première tranche du détournement, Gariste avait bénéficié d'une liberté provisoire contrairement à ses complices mis sous mandat de dépôt à Antanimora.
Les familles de ces derniers avaient riposté arguant que les principaux responsables dans cette affaire ne devaient pas être mis en liberté.
Le 29 janvier, Gariste devait revenir au Parquet pour être entendu sur la tranche la plus importante du fonds détourné. Il ne s'y était plus présenté. Le Procureur de République avait lancé un mandat
d'amener à son encontre.
En vain.
Le gouvernement a décidé de s'ocuper de l'affaire. Avant-hier, le conseil des ministres, à travers le ministère de la Justice a carrément émis un mandat d'arrêt contre Gariste Daméogeonie.
Raison de santé
Depuis le 15 janvier, Gariste Daméogeonie, vice-président de la FMF, a mis entre parenthèses ses activités au sein de cette instance du football. "Il a
adressé une lettre d'excuse pour justifier son absence" devait affirmer un membre du secrétariat de la FMF . Commissaire de la Confédération africaine du Football (CAF), il a également décliné une mission aux Seychelles. "Il a envoyé une lettre à la CAF signifiant qu'il ne pouvait plus assurer sa mission pour raison de santé", continue-t-il. La CAF l'avait remplacé par Anselme Rabibisoa, secrétaire général de la FMF.
Depuis
, Gariste Daméogeonie a complètement disparu de la circulation.
Cette affaire crée une polémique entre le corps de la police et l'instance judiciaire. L'une reproche à l'autre d'avoir donné une liberté provisoire au suspect et de l'ordonner à l'arrêter maintenant.

Un ancien du Tim
Gariste Daméogeonie était un footballeur au talent exceptionnel. Doté d’un
pied gauche de velours, il débutait sa carrière vers la fin des années 60 au sein de la fameuse équipe de Tanoran’Imamo Milalao, en abrégé Tim.
Très jeune, il intègre l’équipe nationale entraînée par le franco-argentin Pancho Gonzalez à 18 ans, au début des années 70 en compagnie de deux autres redoutables gauchers, Guy Kely et Dezy Ramasy.
Il faisait partie de l’équipe vainqueur de la Zambie (2 à 1) à Mahamasina en 1973, après une lourde défaite de 0 à 3 à Lusaka.
Plus tard, Gariste était au Finansy Fanatanjahantena, l’équipe du ministère des Finances où il venait travailler.
Il avait arrêté sa carrière internationale au milieu des années 80.

Des millions d'Ariary volés sur la RN°4. Les malfaiteurs ont fait de l'auto-stop.

Un chauffeur de camion s'est fait voler une somme de 5,4 millions d'Ariary, hier à Ankazobe. Le vol a été commis par des auto-stoppeurs en provenance de Mahajanga. A Ambondromamy, un couple accompagné de deux enfants, âgés respectivement de 12 mois et de 12 ans, ont arrêté le camion et demandé à son chauffeur de les emmener avec lui à Fihaonana-Ankazobe, pour assister à des funérailles.

Le camionneur les a embarqués à l'arrière de son véhicule, où le sac contenant l'argent se trouvait aussi. En cours de route, les auto-stoppeurs ont déchiré la sacoche pour s'emparer de l'argent. Arrivé à Ankazobe, le chauffeur s'est arrêté pour se reposer et acheter du gasoil.
Les malfaiteurs en ont alors profité pour s'enfuir. Ils ont dit au chauffeur qu'ils allaient prendre un taxi-brousse car ils étaient pressés.
Ils sont donc allés au stationnement des taxi-brousses en direction d'Antananarivo. Ils ont embarqué dans un véhicule qui attendait encore des passagers en disant au chauffeur d'avancer le départ et qu'ils paieraient pour les places vides.
Le chauffeur du camion, lui, n'a remarqué la disparition de son argent qu'à la station-service. Après avoir fait le plein, il a voulu prendre de l'argent pour payer le pompiste. C'est à ce moment qu'il a vu que sa sacoche a été déchirée et vidée de son contenu.
Il a alors alerté la gendarmerie d'Ankazobe. Cette dernière a immédiatement pris des mesures. Des barrages ont ainsi été dressés le long de la route nationale n°4. En même temps, les gendarmes et le camionneur ont réquisitionné une voiture pour poursuivre le taxi-brousse transportant les voleurs.
Les malfaiteurs ont été arrêté à Ampanotokana-Mahitsy, à un des barrages de la gendarmerie. Ils ont été fouillés et on a trouvé sur eux une somme de 4,249 millions d'Ariary. Ils ont ensuite été emmenés à la brigade de la gendarmerie d'Ankazobe.

Moralité de l’histoire :trop bon trop con, et plus de pitié pour les canards boiteux !!!

Rétablir l’équilibre commercial

La balance commerciale de Madagascar est déficitaire depuis des dizaines d'années. Afin d'y remédier, le secteur privé réagit et met en place le projet Cap Export.

Exporter plus et exporter mieux. Le projet Cap Export mis en place par la Chambre de commerce et de l'industrie France Madagascar (Ccifm) veut répondre à la demande de plus en plus pressante des exportateurs malgaches.
“C'est un appui qui devra répondre aux besoins de consolidation que peut avoir une entreprise à chaque étape de son processus d'exportation, il s'agit d'accompagner les entreprises de la production à la vente proprement dite" déclare Gilles Le Goff Andriamiandra, président du comité Cap Export au sein de la Ccifm lors de la réunion du club affaire de la chambre, hier soir, au Hilton Madagascar.
"Les importations ont toujours été plus importantes par rapport aux exportations aussi bien en terme de volume qu'en terme de valeur", ajoute-il.
Les différentes étapes du processus d'exportation sont concernées par les interventions du projet. D'après les explications du président du comité, le projet concentre ses actions sur l'amélioration de la chaîne de production mais également sur une meilleure connaissance du marché .
Appui technique et financier
“L'amélioration de la compétence et de la performance de l'entreprise se trouve à la base de cette initiative, l'étape suivante porte sur une étude des marchés c'est un concept qui devra permettre aux entreprises de mieux cibler les marchés et ainsi de mieux se positionner et de présenter les produits par rapport à ces marchés”, explique Lova Tiana Raharinosy, chef du projet Cap Export. Elle poursuit en précisant que des outils d'information ont été mis en place pour atteindre cet objectif.
Un autre aspect du projet porte sur la participation aux manifestations commerciales internationales. “Nous avons appuyé financièrement la participation de 15 entreprises à 7 salons internationaux à hauteur de 50 % des
coûts”, souligne Lova Tiana Raharinosy.
“Prendre part aux manifestations internationales permet de focaliser les efforts de promotion sur un produit et par rapport à un marché”, fait savoir un exportateur membre de la Ccifm.
L
e projet Cap Export organise également une série de missions d'entreprises pour les mois à venir. “Il s'agit de mettre en relation les exportateurs malgaches et les éventuels consommateurs étrangers”, déclare Lova Tiana Raharinosy.
La première mission sera sur le marché italien vers le mois de mai de cette année. Six autres missions devront suivre dont deux en Asie, deux en Afrique, une aux Etats-Unis et une autre en Europe.

Tuesday, February 13, 2007

Saint VALENTIN quand tu nous tiens...

Quand on n'a que l'amour

Quand on n'a que l'amour
A s'offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on n'a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on n'a que l'amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d'y croire toujours
Quand on n'a que l'amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on n'a que l'amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours
Quand on n'a que l'amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on n'a que l'amour
A offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour
Quand on n'a que l'amour
A offrir à ceux-là
Dont l'unique combat
Est de chercher le jour
Quand on n'a que l'amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
A chaque carrefour
Quand on n'a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains
Amis le monde entier.

Jacques Brel

La chanteuse Dah'Mama prépare la sortie d'un nouveau produit.

A l'occasion de la Saint Valentin, elle sort un single qui est un aperçu de ce que sera son prochain album.

Ce sera au mois de juin. Très probablement, lors de la célébration de la fête de l'Indépendance. Les fans de Dah'Mama devront encore attendre un peu pour découvrir son deuxième album.
“Certes, le produit est déjà prêt, mais je préfère sortir d'abord des singles à chaque grand événement de l'année”, déclare la chanteuse.
Actuellement, elle fait la promotion de “1402 DM”, un morceau qu'elle a composé en guise d'hommage à l'amour et aux amoureux. D'ailleurs, le titre de la chanson évoque la date de la Saint Valentin.
Da
h'Mama veut, à travers ce morceau qui sera peut-être le tube de l'opus, réaffirmer que l'amour n'a pas d'âge. Ainsi dans le clip, elle a choisi un couple, dont le mari a quatre ans de moins que la femme qui, elle, a, 80 ans. Selon la chanteuse, “On devrait fêter la Saint Valentin tous les jours”.
En attendant la sortie de l'album, Dah'Mama prévoit de lancer quatre ou cinq singles. Le prochain morceau qui s'intitule “Mama tsenga” sortira au mois d'avril, pendant les vacances de Pâques.
Pack
Se basant sur une histoire vraie, celui-ci raconte la vie d'une femme prodigue qui avait gaspillé ses richesses lors de sa jeunesse. “En général, je ne compose que des chansons à thèmes. Des thèmes issus de la vie quotidienne”, fait-elle savoir à ce sujet.
Pour en revenir à l'album, il sera mis en vente sous forme de pack. Il sera composé de deux produits différents qui ne pourront pas être achetés séparément. Un CD audio, et un VCD ou DVD.
Au total, la version audio comportera 10 morceaux, tandis que la version vidéo en contiendra 11. “Il y aura un bonus”, promet la star montante de la musique soft.
Perfectionniste, Dah'Mama veut s'écarter des sentiers battus dans la conduite de sa vie artistique. “Je veux me démarquer des autres artistes, même s'il y a des points communs dans ce que nous faisons”, précise-t-elle. Une des
raisons pour lesquelles elle a choisi de présenter son prochain album sous forme de pack.