Monday, October 30, 2006

Un mari très tès fatigué

Sous une pluie battante, un automobiliste voit une femme en imperméable contempler, d'un air navré,
sa voiture immobilisée par un pneu crevé. Attendri, il s'arrête et propose à la dame de lui installer la roue de secours.
Elle accepte volontiers et se contente de le regarder, pendant qu'il se livre à cette opération.
Enfin au bout d'un quart d'heure très content de lui, l'homme s'écrie :
- Ça y est ! Votre voiture est en état de marche. Il commence à manœuvrer le cric pour faire
redescendre le véhicule quand la dame lui dit :
- Allez-y doucement. Mon mari dort à l'arrière. Il serait furieux si jamais vous le réveilliez.

Sunday, October 29, 2006

Catastrophe naturel

Le réchauffement climatique pourrait coûter à l'économie mondiale jusqu'à 5,5 trillions d'euros (7 trillions de dollars) si les gouvernements ne prennent pas des mesures radicales au cours des 10 prochaines années, avertit une étude d'un ancien responsable de la Banque mondiale.

L'étude, dont l'hebdomadaire britannique The Observer publie des extraits et qui doit être présentée lundi 30 octobre par Sir Nicholas Stern, ancien chef économiste de la Banque mondiale, prévient également que le nombre de réfugiés, victimes de la sécheresse ou d'inondations, pourrait s'élever à quelque 200 millions de personnes.

elon l'Observer paru dimanche, cette étude de 700 pages est la première contribution de poids d'un économiste à un phénomène qui avait été jusque là l'apanage des scientifiques. Le rapport de M. Stern, qui avait été commandé voilà un an par le ministère de l'économie britannique pour mieux cerner les répercussions du réchauffement climatique sur l'économie du globe, prévoit que celui-ci pourrait provoquer une récession mondiale.

"LE DÉBAT EN LA MATIÈRE EST À UN TOURNANT"

"Cela va nous donner des arguments", a déclaré une source gouvernementale britannique anonyme citée par l'hebdomadaire. "Je crois que le débat en la matière est à un tournant de même que nous l'étions en 2004-2005 en terme de science", a estimé cette source.

Selon l'Observer, le coût du réchauffement climatique pourrait aller jusqu'à 6,8 trillions de dollars si les choses restent inchangées, soit plus que les deux guerres mondiales et la grande dépression de 1929, tout en rendant de grandes parties de la planète inhabitables.

Même si une fin immédiate était mise à la pollution, ajoute l'Observer, les gaz à effet de serre déjà dans l'atmosphère continueraient à provoquer un réchauffement du climat pendant encore une trentaine d'années avec le niveau des mers s'élevant encore pendant un siècle. L'ancien économiste de la Banque mondiale a calculé, souligne l'hebdomadaire, que l'humanité devrait dépenser 1 % du PIB annuel de la planète, soit près de 350 billions de dollars (275 billions d'euros) sous peine de voir le coût du réchauffement climatique être de 5 à 20 fois plus élevé.

"LA NÉCESSITÉ D'ACTION EST URGENTE"

Le problème est tellement urgent qu'un nouvel accord sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, remplaçant le protocole de Kyoto, devrait être conclu dès l'année prochaine plutôt qu'en 2010-2011 comme prévu, estime l'auteur de l'étude par l'augmentation des émissions de la Chine.

Le contenu de l'étude de Sir Nicholas Stern a été présenté aux ministres de l'environnement à Mexico au début du mois, où il a clairement expliqué à tous que "ne rien faire n'était pas une option" et que la "nécessité d'action était urgente", a indiqué une source gouvernementale britannique, citée par ailleurs par The Independent.

Selon le journal, le ministère des finances britannique espère que cette étude servira à provoquer un revirement de l'opinion aux Etats-Unis et à combattre l'assertion du gouvernement américain que la réduction des émissions de gaz à effet de serre est dommageable pour la croissance économique.




Réchauffement de la planète

Au Groenland, une équipe de scientifiques poursuit des recherches pour analyser le climat sur les 250 000 dernières années.
L’analyse des carottes glaciaires permet de reconstituer les variations climatiques. Sur une carotte glaciaire, chaque strie représente une année. On a ainsi découvert que depuis 10 000 ans, le climat est particulièrement stable.
Mais, aujourd’hui, cette stabilité est remise en cause par l’activité humaine. L'homme accèlere t-il le rechauffement de la planète ?

Un refroidissement brutal

Il y a 13 000 ans, un refroidissement brutal de la température s’est produit. A ce moment là, la Terre sortait d’une longue période glaciaire. La température remontait progressivement quand tout fut bouleversé.
Dans un premier temps, sous l’effet de l’augmentation de la température, les glaciers commencèrent à fondre.
L’inondation qui s’en suivit fut catastrophique.
L’eau douce se déversa dans l’océan Atlantique et provoqua une baisse de la salinité de l’eau de mer.
L’ensemble de la circulation du courant océanique s’est alors interrompu.
Cet arrêt plongea des régions du globe dans le froid. Ce fut comme un retour à la période glaciaire.

Le rôle de la circulation océanique

La circulation océanique influence beaucoup le climat de la Terre.
D’une part, elle entraîne les eaux tropicales chaudes vers le Nord. Cela permet de réchauffer les régions froides et de leur procurer des hivers doux.
D’autre part, elle évite le réchauffement excessif des eaux tropicales en les refroidissant.

Cette circulation est un véritable climatiseur de la planète.

Toutes les grosses perturbations climatiques du passé sont dues à un problème dans la circulation océanique. Or, aujourd’hui, nous sommes à la veille d’une perturbation de ces courants.
En effet, cette circulation a déjà commencé à ralentir et risque de s’affaiblir très rapidement. Le flux du Gulf Stream a diminué de 20% au niveau des îles Féroé.

On ne peut savoir aujourd’hui si ce phénomène provoquera une nouvelle ère glaciaire comme ce fut le cas il y a 13 000 ans.
Mais, il faut s’attendre à ce qu’il entraîne un bouleversement climatique considérable.

hermomètres naturels : les icebergs

Les icebergs constituent de gigantesques réservoirs d’eau douce. Quand ils fondent, ils diminuent la salinité de l’eau. Ce phénomène perturbe la circulation des courants en eau profonde.
Aujourd’hui, avec le réchauffement de la planète, le nombre d’icebergs est en augmentation.
Jusqu’en 1970, on dénombrait environ 400 icebergs qui descendaient de l’Atlantique Nord vers les eaux canadiennes.
Dans les années 80, on en comptait 600. Et, dans les années 90, on en comptait plus de 1000 par an.

Dioxyde de carbone et réchauffement

Le réchauffement de la planète résulte de l’augmentation du gaz carbonique. Nos émissions de gaz à effet de serre totalisent 24 milliards de tonnes de dioxyde de carbone chaque année.

En parallèle, nous détruisons nos forêts et polluons nos océans. Or, ce sont les plantes et le plancton qui permettent le recyclage du gaz carbonique.
Les niveaux en CO² (gaz carbonique) ont augmenté du tiers par rapport à il y a 250 ans.

Conséquences d’un réchauffement

Si le réchauffement de la planète continue au rythme actuel, la température des océans pourrait s’accroître d’un degré ½ d’ici 2050.
L’écosystème aquatique en serait totalement altéré.
Un million d’espèces animales et végétales pourrait disparaître d’ici 2050 (estimation de la revue Nature du 8/01/2004).

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) prévoit la disparition de 21% à 52% des espèces.

Si nous ne réduisons pas nos émissions de gaz à effet de serre, la température mondiale, qui a déjà augmenté de 0,6 degré au cours du siècle dernier, augmentera d’un nouveau degré.

Même les scientifiques les moins pessimistes prévoient des phénomènes catastrophiques :

  • Disparition des glaciers
  • Inondations
  • Vagues de chaleur et tempêtes
  • Elévation d’au moins 30 cm du niveau des mers

Scénario catastrophe

Sans sombrer dans le sensationnel, le sujet est trop grave pour cela, il n’est pas évident que les gouvernements prennent conscience de la gravité du problème avant qu’il ne soit trop tard.

Non seulement nous ne diminuons pas nos émissions de gaz, mais il est presque certain que nous allons les quadrupler.
Dans cette hypothèse, loin d’être fantaisiste malheureusement, la température augmenterait de 8 degré (estimation du centre Hadley du Met office).

Dans ce cas là, selon les experts, notre planète connaîtrait des températures semblables à celles qui existaient il y a 40 millions d’années.
A cette époque là, les calottes polaires n’étaient pas permanentes et le niveau des mers était supérieur de 12 m à celui d’aujourd’hui.
Inutile de dire que de nombreux pays seraient engloutis.

Le Centre Hadley prévoit déjà d’ici 2080, si rien n’est fait, des changements climatiques inquiétants :

  • Diminution de 50% de la pluviosité sur les Tropiques (Afrique Tropicale, sud-est de l’Asie, Australie). Les Etats-Unis verront également une diminution de leur pluviosité.
  • Elévation du niveau des mers en Europe, Indonésie, Delta du Gange
  • Couverture de glace qui s’étendrait sur l’Europe du Nord et une partie de l’Angleterre.

Réchauffement ou Refroidissement de la planète ?

Si le courant du Groenland s’arrêtait, la Terre connaîtrait t-elle une nouvelle période glaciaire ?

Plusieurs scénarios sont avancés par les scientifiques. L’affaiblissement de ce courant peut entraîner deux scénarios opposés :

1/ il affaiblit le Gulf Stream et déclanche un refroidissement

2/ il augmente le taux de dioxyde de carbone dans l’air et contribue au réchauffement du climat

Il y a 13 000 ans, la mise en sommeil de ce courant a entraîné une glaciation. Mais aujourd’hui, les températures sont plus élevées qu’à cette époque à cause de l’activité humaine.
L’augmentation de dioxyde de carbone pourrait se produire avant que les calottes glaciaires n’aient le temps de s’étendre.
L’effet pourrait donc être totalement inversé.

Dans tous les cas de figure, le climat tempéré dont nous jouissons actuellement serait totalement modifié.
Nos ancêtres ont pu survivre aux bouleversements climatiques mais ils n’étaient pas 6 à 8 milliards comme le prévoit l’ONU pour les 50 années à venir.

Dernières informations. Juin 2006

Des chercheurs ont extrait du sol de l’Antarctique une carotte de glace contenant 740.000 ans d’histoire. Ainsi, les paléoclimatologues peuvent désormais comparer huit âges glaciaires de la Terre au lieu de quatre.

Les résultats des premières analyses, publiés aujourd’hui dans la revue Nature, révèlent que les périodes interglaciaires les plus anciennes étaient aussi les plus difficiles. En effet, les cinq dernières périodes interglaciaires sont les seules dont les températures sont proches de celles que nous connaissons aujourd’hui. Au-delà de 430.000 ans, ces périodes dites ‘’interglaciaires’’ étaient très froides.

Au cours des 430.000 dernières années, le climat n’a été aussi chaud qu’aujourd’hui que 5 à 10% du temps. La période interglaciaire dans laquelle nous vivons dure depuis environ 12.000 ans, ce qui est nettement plus long que pour les précédentes. L’effet de serre consécutif à l’activité humaine en est-il la raison ?

Au cours du prochain été austral l’équipe d’EPICA va poursuivre son forage afin d‘atteindre des glaces vieilles de 900.000 ans. La carotte d’un million d’années est l’objectif que se sont fixé les spécialistes de ces forages.


jean aimé sega zouk salegy


jean aimé sega zouk salegy
Vidéo envoyée par rongony401
tsy anao raiky manangy.

Molia


Molia
Vidéo envoyée par betsileo
Malagasy Gasy Hira Mozika Madagascar Betsileo Vezo Sakalava

http://home.teleport.ch/madagascar/madagascar

DJ MOURCHIDY Angomana


DJ MOURCHIDY Angomana
Vidéo envoyée par claudiorandri

JAOJOBY Tsinjaka


JAOJOBY Tsinjaka
Vidéo envoyée par claudiorandri

Madagascar


Madagascar
Vidéo envoyée par guesh

Poopy: Fotoana mamy


Poopy: Fotoana mamy
Vidéo envoyée par hery

Mifohaza- Njakatiana


Mifohaza- Njakatiana
Vidéo envoyée par JiJo68
Clip de madagascar de Njakatiana

Ny ainga


Ny ainga
Vidéo envoyée par JiJo68

Mifalia Fa malagasy-Njakatiana


Mifalia Fa malagasy-Njakatiana
Vidéo envoyée par JiJo68
Regardez moi ce clip ^^ trop génial
Cette chanson es trop belle "Mifalia fa Malagasy" ;)

SAMY MALAGASY


SAMY MALAGASY
Vidéo envoyée par hayora72

Friday, October 27, 2006

Plongeoir


Plongeoir
Vidéo envoyée par fred809
Aï ouille ouille ouille

kissing monkeys


kissing monkeys
Vidéo envoyée par nicobus

Foresti Cécilia Sarkozy


Foresti Cécilia Sarkozy
Vidéo envoyée par raph66

toilette de l'amour


toilette de l'amour
Vidéo envoyée par bilko

amour vache


amour vache
Vidéo envoyée par demolitionyann

pauvre bete


pauvre bete
Vidéo envoyée par demolitionyann

Thursday, October 26, 2006

Alouettes , je te plumerai....

Un scandale sans précédent est en passe de s’éclater à Nosy Be. En effet, de fortes tensions couvent dans le cercle des ressortissants étrangers qui, résidents comme touristes, fréquentent cette île aux parfums. Le nœud gordien du problème réside dans le fait que, ces derniers temps, des « vazaha » ont été pour ainsi dire « plumés » par des prostituées. « Ceci, avec la complicité flagrante de certains éléments des forces de l’ordre », a-t-on révélé.

Le « mécanisme » est simple mais rapporte gros : une prostituée, après avoir passé la nuit avec un étranger, saisit, le lendemain, la Police ou la Gendarmerie locale pour porter plainte contre celui-ci. Le grief invoqué étant que ce « client » n’a pas payé la « prestation » charnelle de la belle de nuit. Un acte que cette dernière aurait qualifié de « filouterie de rapports sexuels ». En tout cas, l’étranger, convoqué au poste de Police ou de Gendarmerie, a été, d’une façon ou d’une autre, « poussé » par les enquêteurs à régler à l’amiable le différend. Ceci, bien évidemment par le paiement d’une somme sonnante et trébuchante à la prostituée. Et, une fois l’affaire close, cette dernière glisse, entre les mains des enquêteurs, des billets. A titre de commission pour « service rendu ».

Des cas, assortis des circonstances entourant l’affaire, ont récemment été portés à la connaissance de la presse. Avec les noms, notamment, des enquêteurs complices. Dans le jargon judiciaire, cette pratique a un nom : racket ! D’autant plus que le non paiement de la prestation d’une prostituée ne peut jamais être qualifié de pénal, étant une simple affaire « commerciale ». Bref, des enquêtes approfondies méritent d’être menées à Nosy Be pour démasquer cette association de malfaiteurs pas comme les autres. Déjà que cette île paradisiaque souffre terriblement du tourisme sexuel.

En tout cas, cette pratique de la honte n’est guère l’apanage des filles de rue de Nosy Be. En effet, à Mahajanga, ce furent les parents de jeunes descendantes d’Eve qui ont racketté des étrangers. Consentants au début, ces parents ont porté plainte contre ces derniers, pour détournement de mineure, une fois que le « robinet » d’aides financières, à eux allouées, a été fermé par celui-ci (voir notre édition d’hier). Bref, Madagascar risque fort de remettre en cause sa politique de développement touristique avec ces… sombres affaires.

Njakatiana - Andao indray


Njakatiana - Andao indray
Vidéo envoyée par radiovazogasy

Wednesday, October 25, 2006

Crash d'un avion : Six morts à Toliara



Tôt hier matin, un avion Cessna 425 de la société STA a crashé à l’aéroport de Toliara, cinq minutes après son décollage. Les six personnes à bord ont tous péri dans l’accident, les deux membres de l’équipage et quatre ressortissants italiens dont deux administrateurs de la société Magrama.

Parti très tôt à 4 heures du matin pour rejoindre Antananarivo, l’avion Cessna de la compagnie STA, immatriculé 5RMGV, s’est écrasé deux minutes seulement après son décollage. Aucun passager n’a survécu à ce terrible accident.

Le village d’Ankaiasy, qui se trouve à 1,5 km au nord-est de l’aéroport de Toliara, a été réveillé ce matin par le bruit du crash d’un avion bimoteur Cessna 425. L'appareil transportait 6 passagers: deux membres d'équipage d’origine malgache et 4 passagers d’origine italienne.
Ces derniers étant des hommes d’affaires, deux d'entre eux sont des associés de la Société Magrama (Marbres et granites de Madagascar) et les deux autres des clients de ladite société. "L’avion a décollé à 4 h 15 du matin, puis il s’est écrasé deux minutes plus tard", indique le commandant de l’Aéroport de Madagascar Manantsara Hajiamy.
Notre service pompier a accouru aussitôt sur place, mais l’avion a déjà explosé, continue-t-il. Un villageois qui habite a proximité du lieu du drame nous a révélé: "De ma maison, j’ai entendu le vrombissement étrange d’un avion, un bruit qui ne m’était pas habituel. Quand je suis sorti pour voir, j’ai vu un avion qui volait mais j’ai remarqué qu'il avait déjà pris feu et il a percuté aussitôt le sol avant de d’exploser. Tout s’est passé très vite".
L’assertion de ce témoin a été confirmée par le maire Betsinjake Rakotoarison Ferdinand: "Des personnes m’ont averti qu’ils ont vu une sorte de boule de feu qui planait dans le ciel, mais dans l’obscurité on ne pouvait pas discerner l’objet en question. Par contre quelques minutes après, il y a eu une forte déflagration qui a résonné jusqu’à mon village".
Une heure de temps après, des franges de fumées était encore visibles sur le lieu du drame et les corps carbonisés des 6 passagers de l’avion étaient encore scellés sur leurs chaises. Ils étaient presque méconnaissables. L’avion était totalement calciné à l’exception du fuselage arrière qui n’a pas été totalement broyé par le feu. Un spectacle insoutenable.

Hypothèses divergentes
Les autorités militaires et civiles conduites par le vice-président du faritany, lui-même dépêché par le PDS du faritany (retenu à Antananarivo pour des obligations professionelles) se sont aussitôt rendues sur place pour constater de visu le drame, mais aussi pour en savoir un peu plus sur les causes exactes de cet accident. A première vue, les hypothèses divergent.
D’aucuns avancent que la visibilité devait être réduite, du fait de l'heure très matinale de décollage. D’autres par contre soutiennent que le feu qu’auraient aperçu les témoins prouve que le moteur s'est enflammé, ce qui veut dire qu’il y a eu panne mécanique. Ce qui a entraîné le décrochage de l’avion. Apparemment, cette dernière hypothèse semble plausible et met tout le monde d’accord.
En fait, la position et l’orientation finales de l’avion par rapport à la piste de décollage laisse présager que le pilote, sentant le danger, avait essayé de faire un atterrissage forcé ou tenter carrément de rejoindre le piste d’atterrissage, sans pour autant y parvenir. L’enquête menée par les forces de l’ordre ainsi que l’aviation civile de Madagascar déterminera peut-être dans les prochains jours les véritables causes de ce crash.
L’avion appartenant à la compagnie STA a été loué avant-hier par la société Magrama pour effectuer une visite dans leur carrière, dans le district d’Ampanihy et de Bekily . Et c’est en rentrant très tôt vers Antanananarivo hier matin que l’irréparable s’est produit.
Les corps des victimes de ce grave accident ont été acheminés vers la capitale hier soir par le vol régulier d’Air Madagascar.

Io Fitiavana Io LÔLA


Io Fitiavana Io LÔLA
Vidéo envoyée par claudiorandri

Tuesday, October 24, 2006

Le point sur le tourisme à Madagascar

La destination Madagascar est aujourd’hui plus que jamais positionnée sur l’échiquier international du marché du tourisme. Et d’après les données rendues publiques par Interface Tourism , il est mentionné que réputée par la grande beauté de ses paysages naturels, la richesse de sa biodiversité avec un ensemble d’écosystèmes variés et uniques dans le monde et son patrimoine culturel préservé, la 4ème plus grande île du monde, située au sud-ouest de l’Océan Indien, présente aussi l’avantage de la francophonie et de la richesse des rencontres avec les Malgaches chez qui le sens de l’accueil est inné.


Au fur et à mesure de leur voyage, les visiteurs peuvent ainsi découvrir une faune et une flore extraordinaires (95 % des espèces sont endémiques), des paysages côtiers remarquables avec des kilomètres de plages dorées, des multitudes d’îles et îlots, de grandes étendues parsemées de baobabs ou encore des paysages de plantations et de forêts verdoyantes… sans oublier la beauté de ses fonds sous-marins propices à des plongées inoubliables.

Ainsi, selon toujours la même source, forte de ces atouts naturels, culturels et touristiques, Madagascar exerce désormais une forte attraction sur le marché mondial des loisirs et des vacances et se positionne comme la nouvelle destination Nature, Culture et Découvertes de l’Océan indien.

Le secteur du tourisme représente un puissant outil de développement économique de Madagascar et les acteurs du tourisme, privés et institutionnels, ont choisi de se mobiliser pour obtenir des résultats concrets et une meilleure croissance future. Madagascar propose aujourd’hui 10 000 chambres dans 853 hôtels et accueillait, en 2005, 280 000 visiteurs dont 69 % de Français. L’Ile Rouge ambitionne d’accueillir 700 000 touristes d’ici 2010.

Par ailleurs, il est évoqué que le nombre des arrivées internationales a augmenté de 13 pour cent pendant le premier trimestre 2005. Madagascar est considéré comme «la terre de mille expériences», car l’île offre une biodiversité unique de faune et flore, et de paysages.

Cependant, aux termes des Perspectives économiques en Afrique établies par BAfD/OCDE en 2006, il ressort qu’à Madagascar d’importants investissements sont nécessaires afin d’améliorer la quantité et la qualité de l’offre de services. Pis encore, il est dit que la faible capacité des vols internationaux directs rend la destination peu attrayante. Les infrastructures (réseau routier, système ferroviaire, transports publics) sont souvent inconfortables et peu fiables. Les facilités touristiques, à savoir l’hébergement et les produits et services existants, ne sont pas à la hauteur des standards internationaux. Les services complémentaires tels que les entrées et les visas souffrent de lenteurs. Sur le marché international, Madagascar manque toujours d’une image de marque spécifique comme destination car le marketing pratiqué ces dernières années n’est pas assez agressif. Dans le pays même, l’organisation, la règlementation et la coordination des activités touristiques nécessaire entre les groupes intéressés, sont toujours insuffisantes.

Et pourtant, ces trois dernières années, les pouvoirs publics ont laissé entendre que le tourisme est un moteur du développement. Dans ce sens, les études disponibles indiquent que le tourisme peut contribuer à ouvrir des zones enclavées. Avec un littoral particulièrement adéquat pour les activités balnéaires, une faune et une flore uniques, Madagascar possède des atouts considérables au développement du tourisme. Ce secteur a la possibilité de générer des activités dans des régions qui restent inaccessibles au développement industriel, et pourrait avoir des retombées positives sur les segments les plus défavorisés de la population en créant des liens dynamiques avec d’autres secteurs, comme l’artisanat et l’agriculture.

Toutefois, le tourisme actuel ne correspond pas aux attentes liées à son potentiel. Paradoxalement, le tourisme malgache, est le moins développé des îles de l’Océan indien (par rapport à Maurice et aux Seychelles) et se heurte à des handicaps sérieux. La diversification des marchés est faible (60% des touristes sont français), les coûts des transports aériens, internationaux et domestiques, restent très élevés, les structures d’hébergement actuelles ne permettent pas le développement d’une véritable industrie. D’autres facteurs génériques contribuent aussi à décourager les investisseurs dans ce secteur, comme l’absence d’une politique d’aménagement des sites permettant une facilitation des procédures foncières et de la viabilisation des sites, une fiscalité lourde (le secteur n’est pas considéré comme une activité d’exportation). Finalement l’absence d’une infrastructure publique adéquate (santé et transport) est un autre obstacle qui désavantage Madagascar par rapport à d’autres destinations.

Monday, October 23, 2006

Une mini guerre civile évitée de justesse à Tuléar : moutons contre vélos

Le pire a été évité de justesse à Toliara. Excédés par les vols à répétition dont ils sont victimes, les étudiants de l’université de Maninday étaient à un doigt de s’attaquer à la population de Besavy, qu’ils accusent d’être les auteurs des forfaits. Il a fallu une intervention musclée des forces de l’ordre pour calmer les esprits.

Las des vols à répétition dont ils sont victimes, les étudiants du campus de Maninday ont voulu faire justice sur les habitants de Besavy. Les forces de l’ordre ont du tirer en l’air.

Des troubles ont eu lieu à l'université de Maninday à Toliara dans la journée du samedi. Les forces de l'ordre: la gendarmerie, les militaires et les policiers sont venus en force en apprenant que les étudiants de l'université de Maninday étaient en route pour attaquer les habitants de Besasavy (fokontany non loin de l'université). Les étudiants étaient armés de lance-pierres, couteaux, sagaies et cocktails molotovs.
Ils se sont retrouvés face aux policiers à la sortie de Maninday. Et ces derniers ont fait part de leur intention d'empêcher tout affrontement. Des pourparlers ont été entamés, mais n'ont pas abouti : "Les étudiants n'ont pas voulu obtempérer et ont insisté pour poursuivre leur chemin. Nous étions obligés de prendre une décision car nous devions protéger la vie de nombreuses personnes. Ainsi, on a dû les disperser par la force : on a tiré en l'air et lancé quelques grenades lacrymogènes", explique le commissaire Tsiebo Karl.

Victimes d'insécurité
Les étudiants ont répliqué par des jets de pierre. Heureusement, le chef de région et le président de l'université sont arrivés et ont calmé la situation. Après avoir longuement discuté, les parties ont réussi à s'entendre. Et même si les affrontements ont duré près d'une heure, aucun blessé n'est à déplorer.
D'après l'un des étudiants, les problèmes viennent du fait qu'il n'y a aucune sécurité le long de la route de l'université: "De nombreux élèves y ont déjà été attaqués par des voleurs, de jour comme de nuit. Non seulement ils nous agressent, mais ils nous volent même nos vélos. Près de 25 bicyclettes nous ont déjà été dérobées , et ils visent surtout les étudiantes. Nous savons que c'est toujours à Besasavy que ça se produit."
Ainsi, dans la nuit du mardi, un étudiant qui rentrait tard a été assailli par les malfaiteurs au même endroit. Par chance, ses camarades étaient venus à son secours. Mais les 4 bandits avaient réussi à s'enfuir dans le fokontany de Besasavy. Les étudiants avaient ensuite fait appel à leurs compagnons de Maninday. "Nous avons remarqué que c'est dans ce fokontany que se cachent les détrousseurs qui nous mènent la vie dure", a indiqué l'un d'eux.
Et c'est la nuit suivante qu'ils s'étaient déplacés en nombre à Besasavy pour questionner le chef de quartier et le "fokonolona" concernant le fait que des malfaiteurs sont localisés dans leur fokontany. Ces derniers avaient répondu qu'ils n'étaient au courant de rien. Cette réponse avait provoqué le mécontentement des étudiants, qui avaient décidé de prendre le chef de quartier en otage à Masinday, et proposé de l'échanger contre les 4 bandits. Cette nuit-là, les autorités ont dû intervenir pour le libérer. En échange, elles ont promis de s'arranger avec le fokonolona pour retrouver les voleurs.
D'autre part, le fokonolona avait fait savoir qu'ils avaient aussi des problèmes avec les étudiants de Maninday. "Nos animaux de basse-cour, nos porcs et surtout nos moutons et chèvres qui s'égarent dans l'enceinte de Maninday sont tués par les étudiants. Donc,si vous voulez arrêter des criminels, nous sommes d'accord. Mais le fokonolona refuse de payer pour les 25 vélos. Car si les étudiants nous réclament un dédommagement, nous leur en réclamons aussi pour nos animaux", a déclaré un habitant de Besasavy.
Les autorités locales ont donc décidé de d'agir pour rapprocher les deux parties. Et un discours avait été programmé pour samedi au palais de la région Sud-Ouest.

Donnant donnant
Il avait été convenu que les étudiants et le fokonolona enverraient leurs délégations. Un responsable de la région s'est étonné en constatant : "Une partie a respecté ses engagements, mais les étudiants sont venus en masse au lieu d'envoyer des représentants". Cette rencontre n'a donc pas pu se tenir. Les étudiants sont repartis en annonçant qu'ils allaient passer à l'attaque et ils voulaient réellement le faire.
Le commissaire Tsiebo Karl a conclu : "C'est une bonne chose que nous soyons arrivés tôt pour empêcher l'affrontement, car les habitants de Besasavy les attendaient de pied ferme, ils avaient aussi des armes blanches."
Un accord a donc finalement été conclu, et le
fokonolona devra, somme toute, payer pour les 25 bicyclettes volées, avec l'aide de la Commune urbaine et de la Délégation spéciale de la province de Toliara, car la somme est onéreuse.
Il est prévu que les bicyclettes soient restituées aux étudiants demain.
Le président de la délégation spéciale de Toliara, Rolland Randriamampionona a décidé de prendre cette affaire en main.
Hier, la tension demeurait, l’accord reste fragile.

Sunday, October 22, 2006

Le commerce sino-africain atteindra 50 milliards de dollars en 2006

Le commerce entre la Chine et les pays africains pourrait dépasser 50 milliards de dollars en 2006, a déclaré mercredi un officiel du ministère chinois du Commerce.

Zhou Yabin, directeur du Département pour l'Asie de l'Ouest et l'Afrique du Nord, a fait remarquer que la coopération sino- africaine avait un potentiel immense vu la complémentarité des deux économies

Le principe soutenu par le gouvernement chinois est le développement des relations commerciales et économiques avec l'Afrique sur la base de l'égalité, des avantages réciproques et de développement commun, selon Zhou.

Fin 2005, la Chine avait établi plus de 800 entreprises en Afrique, ce qui représente 6 milliards de dollars d'investissements. Elle a aussi signé des accords d'investissements avec 28 pays. Les projets de coopération couvrent les domaines de la construction, de l'industrie pétrochimique, de l'énergie, de la culture, de l'éducation, de la santé et de la transformation alimentaire.

Ces 50 dernières années, la Chine a accordé une aide économique à 53 pays africains et des crédits de 10,9 milliards de yuans (1, 36 milliard de dollars) à 31 pays africains.

Selon les statistiques douanières, le commerce sino-africain a atteint 39,7 milliards de dollars en 2005, en hausse de 35 % sur l'année précédente. Ce chiffre n'était que de 12 millions de dollars il y a 50 ans.

Le commerce sino-africain a atteint 25,6 milliards de dollars durant la première moitié de l'année, en hausse de 41 % sur la même période de l'année dernière.

Les exportations chinoises vers l'Afrique se sont élevées à 11 milliards de dollars pendant le premier semestre de l'année, soit une hausse de 30 % par rapport à la même période de l'année dernière, et les importations, 14,6 milliards de dollars, en croissance de 51 %.

A l'occasion de la troisième réunion ministérielle du Forum sur la Coopération sino-africaine, prévue du 3 au 5 novembre, les participants discuteront d'importants problèmes internationaux et passeront en revue la coopération sino-africaine de ces cinquantes dernières années.

La faim tue plus que toute autres pandémies telles que le sida, le choléra la grippe etc…

Dans le monde

400 millions d'enfants souffrent de la faim, dont la plupart se trouvent dans les pays sous-développés.
15 centimes d'euros sont versés par jour pour aider le Pam à fournir un vrai repas aux enfants les plus pauvres
Le fléau de la faim touche 850 millions de personnes.

A Madagascar
6 millions de personnes sous-alimentées, soit 35% de la populaton (source FAO)
6 Malgaches sur 10 croulent de faim, 7 Malgaches sur 10 sont malnourris.
La plupart mangent tout en n'ayant pas la possibilité d'assouvir à leur faim.
50 000 personnes sont victimes d'insécurité alimentaire dans le Sud-est de l'Ile(enquête CNS/Pam/FAO Juil 2006). 25 000 d'entre elles bénéficient d'une dotation en vivres

Manger pour vivre ou vivre pour manger?.

L'une des deux propositions reste valable selon la personne concernée, du moment qu'elle dorme le ventre plein. Mais la situation n'est pas toujours souriante partout dans le monde. D'ailleurs, les chiffres annoncés par James Morris, directeur exécutif du Programme alimentaire mondial (Pam), dénote un état scandaleux.
“Il est important d'intégrer l'alimentation dans les programmes d'éducation pour atteindre les objectifs”, a-t-il déclaré lors de la célébration de la Journée mondiale de l'alimentation, le 16 octobre à Rome.
Ainsi, 400 millions d'enfants souffrent de malnutrition. Une étude montre que la faim nuit au développement du cerveau dès le bas âge.
A Madagascar, le fléau reste une réalité. Les chiffres, rapportés par le Fonds de l'alimentation et de l'agriculture (FAO), montrent une situation plus que précaire parmi la majorité de la population.
“Si en 1970, un Malgache se nourrissait de 160 kilos de riz par an, la quantité est réduite à 120 kilos aujourd'hui”, a affirmé Martin Smith, représentant du FAO à Madagascar, dans son discours prononcé lors de la Journée mondiale de l'alimentation à Tsiroanomandidy.

Sous-équilibre alimentaire
Avec le thème “investir dans l'agriculture pour lutter contre la faim », le pays donne un défi à relever. “Selon l'engagement de l'Objectif du millénaire pour le développement, 10% du budget doivent couvrir l'agriculture. Or pour le moment, seuls 7% du programme d'investissement public (Pip) y sont alloués. Cela nécessite des efforts accrus”, ajoute Martin Smith.
Les Nations unies sont prêtes à appuyer Madagascar pour qu'il atteigne le chiffre prévu.
Mais ces efforts doivent se concentrer sur les milieux ruraux, où la sensibilisation reste à promouvoir. “Les paysans ont de quoi remplir leurs ventres, mais leur manière de s'alimenter ne satisfait pas aux critères sanitaires. Par exemple, le nombre de calories n'est pas respecté à chaque repas”, explique Richard Rabetrano, membre du Bureau national de la coalition paysanne de Madagascar.
Il ajoute que le gouffre d'inégalité est très visible chez les paysans aisés et ceux qui n'ont pas les moyens de prospérer dans leur agriculture.
Un autre aspect de la sous-alimentation se traduit par le sous-poids enregistré chez les enfants de bas âge. “La paresse des parents, qui résistent aux conseils de nutrition infantile, est un fait indéniable dans le milieu rural”, souligne une agent communautaire de nutrition auprès du Programme Seecaline.
Des efforts dans la lutte contre la faim sont menés. Ainsi, Madagascar y contribue par la participation au Téléfood. De même, la distribution de bols de lait aux écoliers sera dorénavant inscrite dans le quotidien des écoles primaires publiques, pour éviter les situations de malnutrition, en particulier la carence en calcium.

Saturday, October 21, 2006

EJEMA djarina banou


EJEMA djarina banou
Vidéo envoyée par claudiorandri
old school malgache fin des années 80 début des années 90...

RIVERA Zegny manahiragna


RIVERA Zegny manahiragna
Vidéo envoyée par claudiorandri

Io Fitiavana Io LÔLA


Io Fitiavana Io LÔLA
Vidéo envoyée par claudiorandri

DJ MOURCHIDY Za gasy


DJ MOURCHIDY Za gasy
Vidéo envoyée par claudiorandri

Tsy HERO


Tsy HERO
Vidéo envoyée par Manalina

Soma donia WAWA


Soma donia WAWA
Vidéo envoyée par claudiorandri
tre bon tout simplement

LabelToxik


LabelToxik
Vidéo envoyée par Manalina

DJ MOURCHIDY Diégo malaza


DJ MOURCHIDY Diégo malaza
Vidéo envoyée par claudiorandri

Jamba Aminao LÔLA


Jamba Aminao LÔLA
Vidéo envoyée par claudiorandri

Cocktail tropical


Cocktail tropical
Vidéo envoyée par shakygirl
Malagasy represent

jean aimé sega zouk salegy


jean aimé sega zouk salegy
Vidéo envoyée par rongony401
tsy anao raiky manangy.

tsaratsodrano


tsaratsodrano
Vidéo envoyée par Charlesramaroson
Une chanson dédiée à tous les garçons qui vont se marier.
Tononkira feno fahendrena ho antsika tovolahy handeha hanambady, tsodrano toa ilay zanakovavy saingy ho an'ny zanaka lahy indray izy amin'ity indray mandeha ity.
Chapeau Dadah @ tononkira a.

Tuesday, October 17, 2006

Des individus déterrent un bœuf atteint de rage à Ankazobe

Plusieurs personnes risquent actuellement d’être contaminées par la rage à Ambolotarabe-Ankazobe. Par ignorance, six individus ont déterré un bœuf que les éléments du détachement autonome de sécurité (Das) ont dû abattre du fait que l’animal a contracté la rage.


Pour le moment, aucun symptôme n’a encore apparu, cependant plusieurs personnes risquent d’être contaminées par le virus de la rage. En effet, ces derniers ont consommé cette viande infectée.

Le 12 octobre, un chien enragé a mordu un bœuf du petit village d’Ambolotarabe. Etant lui-même infecté, le bœuf est devenu furieux et hyper excité. De source auprès de la gendarmerie, le bœuf affolé a couru dans tous les sens et a mordu tout ce qu’il a rencontré sur son passage. Devant cette scène, les militaires du détachement autonome de sécurité d’Ankazobe n’avaient d’autres choix que d’abattre la bête. Le jour même, la population l’a enterrée, sauf que dans la nuit, par ignorance de la gravité de la situation, six individus ont décidé de la déterrer aux fins d’en consommer la viande.

Paul Modeste Ratiarison, un docteur vétérinaire de la Capitale, a affirmé que ces gens courent également un risque de contamination, car d’après son explication, la viande d’un bœuf enragé est impropre à la consommation. «Ils auraient dû carrément brûler le cadavre, car il faut savoir que le virus de la rage, appartenant au groupe de rhabdovirus, a une forte résistance à la cuisson. D’autant plus qu’outre la transmission par la morsure, ce virus peut se transmettre également par la voie buccale et avec la conjonctive. Or, il est impensable que lors de la préparation, ces gens n’aient pas eu de contact avec le virus. De plus, l’incubation dépend de plusieurs facteurs et la manifestation n’est pas immédiate», a-t-il terminé.

A remarquer que tous malades qui présentent des premiers signes de la rage sont condamnés à une mort certaine, s’ils ne sont pas traités à temps. Devant ce constat, la gendarmerie, par précaution, a décidé de réunir les personnes qui ont consommé la viande infectée pour être examinées.

Monday, October 16, 2006

L'Italie lance la première filière intégrée de plastiques "bio"

C'est une discrète révolution industrielle, à base de maïs et de graines de tournesol, qui est en train de naître à Terni, une ville moyenne d'Ombrie située à une centaine de kilomètres au nord de Rome. Sur ce pôle naguère prospère de la sidérurgie et de la chimie, la société italienne Novamont, pionnière dans le secteur des produits biodégradables, a inauguré, vendredi 13 octobre, la "première bio-raffinerie verte au monde, capable de produire des bio-polyesters à base d'huile végétale". Leader européen des bio-plastiques à base d'amidon grâce à son produit vedette, le Master-Bi, dont 35 000 tonnes sortent déjà du site de Terni, la firme porte sa capacité de production à 60 000 tonnes, soit environ 60 % du marché mondial.

Comparé aux 40 millions de tonnes de plastiques d'origine pétrolière consommées en Europe, ce n'est qu'un balbutiement. De plus, l'intérêt des bio-plastiques est encore occulté par l'engouement actuel pour les bio-carburants. Toutefois, les objets de tous les jours fabriqués à base de produits agricoles ne sont plus une utopie. Les bio-plastiques comme le Master-Bi cumulent les qualités environnementales. Ils sont renouvelables, recyclables, réutilisables, biodégradables et "compostables". On les utilise pour faire des sacs, des emballages, des films de paillage pour l'agriculture, des couches-culottes, des gobelets et des couverts jetables, des cotons-tiges solubles, etc. Les applications sont infinies : Novamont a collaboré notamment avec l'équipementier américain Goodyear pour développer un pneu "écologique" qui réduit de 40 % la résistance au roulement.

Née en 1989 d'un laboratoire de Montedison, c'est avant tout une entreprise de chercheurs qui continue à consacrer 30 % de ses ressources à la recherche. Elle est détentrice des 56 brevets qu'elle développe. Aujourd'hui, l'adjonction d'huiles végétales (tournesol, ricin, colza) au traditionnel amidon permet de réduire encore la part de produits fossiles utilisés. Surtout, cela rend le processus de fabrication moins gourmand en énergie et à faible impact environnemental.

Le projet initial d'inventer "une chimie vivante au service de la qualité de la vie" est vite devenu un défi industriel. Sur son site, Novamont a investi 100 millions d'euros depuis le lancement de la production en 1996. Avec 120 employés et un chiffre d'affaires de 50 millions d'euros, le producteur italien a une dimension de PME mais des ambitions multinationales. La France, qui a le cadre législatif le plus évolué d'Europe en la matière (les sacs de caisse biodégradables seront obligatoires en 2010), l'attire : il vient d'y créer une filiale, premier jalon vers l'ouverture d'une usine, vraisemblablement dans la région Rhône-Alpes.

Le principal frein à l'expansion des bio-plastiques reste leur coût de production. "Il faut commencer à considérer non seulement le coût des matières premières, mais ceux de l'entière filière de production et de distribution, qui incluent des coûts cachés de nature environnementale et sociale tels que le transport. D'où la nécessité de créer de petites unités proches des marchés de destination plutôt que de gros centres de production", explique Catia Bastioli, directeur général de Novamont.

Simultanément à l'annonce de sa bio-raffinerie ultramoderne, Novamont a rendu publique la création d'une société mixte avec la principale organisation agricole italienne (Coldiretti). "C'est un événement encore plus important car cela marque un changement de perspective, se réjouit Catia Bastioli. C'est un premier modèle économique de filière intégrée en vue d'un développement durable. Nous avons trouvé chez les agriculteurs une grande ouverture d'esprit et une approche très voisine de la nôtre car ils sont à la recherche d'un modèle économique qui valorise leur territoire, apporte une plus-value à leurs cultures spécialisées et les intègre à un processus industriel."

Concrètement, plusieurs centaines de producteurs de tournesols de la province de Terni sont constitués en coopérative, laquelle devient partenaire de Novamont dans une nouvelle entité à 50-50, qui devrait être opérationnelle en 2008. Les perspectives de ce type de filière sont importantes sans pour autant empiéter sur les espaces consacrés à l'agriculture à vocation alimentaire. Les plus optimistes ont déjà calculé qu'en exploitant les 800 000 hectares de cultures actuellement gelés par l'Union européenne en Italie, une filière bio-industrielle efficace pourrait obtenir plus de 1,5 million de tonnes de bio-plastiques. Et Catia Bastioli rêve même, dans un futur proche, à une coopération analogue avec les organisations agricoles françaises.

patson jamel comedy club 2


patson jamel comedy club 2
Vidéo envoyée par claudiorandri
l'assurance d'une rigolade

Patson Jamel Comedy Club 3


Patson Jamel Comedy Club 3
Vidéo envoyée par claudiorandri

patson jamel comedy club


patson jamel comedy club
Vidéo envoyée par claudiorandri
bonus cadeau pour vous....!!!!!

Friday, October 13, 2006

Brave or Crazy ?


Brave or Crazy ?
Vidéo envoyée par naardeklote
Brave or Crazy ?

Rapid-Fire Brazilian Jiu-Jitsu


Rapid-Fire Brazilian Jiu-Jitsu
Vidéo envoyée par UrbanX

Thursday, October 12, 2006

DJ MOURCHIDY Mba tiava


DJ MOURCHIDY Mba tiava
Vidéo envoyée par claudiorandri

RABAZA Rapela


RABAZA Rapela
Vidéo envoyée par claudiorandri

Tuesday, October 10, 2006

L’ATR 42 du président Ravalomanana atterrira demain 11 octobre 2006 à Ivato.


Les proches du président Marc Ravalomanana sont en train de peaufiner la réception de l’avion que ce dernier a acheté tout récemment. Il s’agit de la fameuse ATR 42 appartenant désormais au groupe Tiko. Lors de sa dernière mission à l’étranger, le président lui-même aurait fait une escale à Toulouse, pour s’assurer que l’ATR 42 était bien en phase finale d’équipement.

De source sûre, l’avion en question sera attendu à l’aéroport international d’Ivato demain. Avec une immatriculation 5R-MJT, l’appareil a quitté hier l’aéroport Toulouse Blagnac et s’approvisionnera en carburants à Louxor (Egypte) et Naïrobi (Kenya) avant d’atterrir à Antananarivo. Disposant d’une autorisation de vol sur l’espace aérien malgache, l’ATR 42 est piloté par le commandant Thierry La Gasse pour son premier déplacement dans le pays.

Après Ivato, il est prévu que l’avion du président Ravalomanana effectuera un vol dans le Sud, soit à Toliara ou Morondava.

Historique

L’ATR42 et sa version allongée, ATR72, sont nés de l’alliance de deux constructeurs européens : le français Aerospatiale et l’italien Aeritalia.
A la fin des années 70, le secteur des avions régionaux de l’ordre de 40 à 100 places intéresse particulièrement les constructeurs, car il est en pleine expansion (surtout aux Etats-Unis) et ne bénéficie que d’appareils dépassés ou inadaptés.
Fort du succès de leur biturbopropulseur militaire G.222 depuis 1969, les italiens songent donc en 1978 à renouer avec le marché d’avions de transport civil qu’ils ont abandonné depuis déjà 40 ans. Pour cela, ils commencent l’étude de l’AIT 230, un avion à ailes hautes et empennage classique, d’une trentaine de places pour des parcours de 900 kilomètres. Sa conception est simple mais bénéficie des dernières innovations de matériaux composites.
A la même époque, Aerospatiale, après avoir renoncé à une version modernisée du Nord 262, planche également sur son projet, baptisé AS.35. Celui-ci présente une ligne similaire à l’AIT.230, à l’exception de l’empennage en « T ». Mais il est aussi un peu plus grand avec 40 places et prévoit déjà une version allongée.

A l’image de ce qui se fait déjà pour Airbus, les deux constructeurs envisagent rapidement une coopération après une annonce officielle dans ce sens par Aerospatiale le 11 juillet 1980. L’affaire est conclue et signée le 4 novembre 1980, et ATR (Avion de Transport Régional) devient réalité, avec la promesse de voir l’avion en service commercial en 1985.
Les plans de celui-ci sont finalisés et il prend l’aspect d’un avion combinant les deux projets : ailes hautes, empennage en « T », cabine de 1,90m en hauteur et 2,50m en largeur, capacité d’une quarantaine de places avec une version allongée à 70 places programmée, équipé d’une porte d’embarquement arrière avec escalier, une autonomie au sol garantie par un système de blocage de l’hélice qui permet de faire tourner un moteur pour le courant et l’air conditionné, un rayon d’action de 1600 kilomètres ou de 5 rotation de 180 kilomètres, usage de matériaux composites, etc.
Aerospatiale et Aeritalia se répartissent les tâches sur les sites de Saint-Nazaire, Nantes, Toulouse et Naples. Les ailes, le cockpit et l’assemblage final sont réalisés en France, le fuselage, l’empennage, les trains et les équipements cabines, en Italie.

ATR tient ses promesses de délais, puisque le premier vol a lieu le 16 août 1984 et la certification est acquise le 24 septembre 1985. Le premier appareil est livré à Air Littoral au début du mois de décembre 1985.
Dès 1986, le programme ATR72 est enclenché avec le premier vol du prototype le 27 octobre 1988 et la certification le 25 septembre 1989. Kar Air (Finlande) et Binter Canarias (Espagne) sont les premiers exploitant de la version allongée.

En 1995 et 1997, ATR modernise ses avions en proposant l’ATR42-500 et l’ATR72-500. L’évolution se fait surtout au niveau de la motorisation, de l’utilisation d’hélices à six pales, d’un travail sur le confort et l’insonorisation des cabines.

En 2001, les 370 ATR42 et 292 ATR72 se répartissaient ainsi dans le monde :

  • Afrique – Moyen Orient : 56
  • Amérique du Nord : 187
  • Amérique Latine : 41
  • Asie - Pacifique : 105
  • Europe : 273

Face à son concurrent direct, le De Havilland Dash 8-300, l’ATR42 occupe 64% du marché et l’ATR72 80% face au Dash 8-400. En revanche, malgré un succès incontestable jusqu’à ce jour, les pires concurrents des ATR ne sont pas des turbopropulseurs, mais des jets. Depuis leur arrivée sur le marché, les CRJ et ERJ n’ont cessé d’entamer les parts d’ATR, lui faisant même perdre sa place de favori au sein des grandes compagnies américaines comme American Airlines ou Continental. Les ATR continuent à se vendre, mais moins spectaculairement et surtout auprès de petites compagnies ou dans des régions telles que l’Asie et l’Afrique.
Depuis peu, le futur des ATR pourrait reposer beaucoup plus sur les avions cargo commandés d’origine ou convertis.

Monday, October 09, 2006

Réchauffement de la mer: Les coraux du sud-ouest malgache en grave danger

D’après un rapport élaboré par les organisations Blue Ventures et Wildlife Conservation Society (WCS) suite à une expédition réalisée sur la côte du sud-ouest malgache près d’Andavadaoka sur un financement de Conservation International (CI), plusieurs dégradations ont été constatées sur les coraux malgaches suite à l’élévation de la température de la mer. Cette étude montre que par un phénomène de blanchissement des coraux, des parties du récif de la côte ouest malgache perdent jusqu’à 99% de sa couverture corallienne encourant un grave danger pour cette ressource marine.

Cependant, les scientifiques qui ont fait la découverte sont toutefois optimistes quant à l’existence d’une solution pour y remédier. En effet, des petits récifs ont tout de même réussi à survivre à cette hausse de température et pourront être étudiés pour solutionner le problème et éviter d’autres décadences dans le futur.

« Cette étude a été d’une importance capitale car a permis de localiser les coraux résistants et permettra de les protéger », explique des responsables de Blue Ventures. En effet, face au changement climatique qui affecte toute la planète, l’habitat du milieu marin subit aussi des dommages conséquents.

Ainsi, l’organisation Blue Ventures et Conservation International tiendront un atelier dans le pays ce mois-ci pour discuter de la nécessité de protéger de ce danger le récif corallien du sud-ouest malgache. Comme principal objectif, cette rencontre devra aboutir à la mise en place d’un réseau de protection de l’habitat marin de cette partie de l’île pour promouvoir la survie à long terme du récif corallien de la région.

Durant cette expédition, l’équipe de chercheurs a en effet conclu que le récif d’Andavadoaka figure parmi les sites marins les plus riches de Madagascar et des nouvelles découvertes importantes y ont été réalisées : 386 espèces de poissons y ont été recensées dont 20 d’entre elles n’ont encore été découvertes auparavant par la science. Et les chercheurs sont encore confiants que l’endroit peut encore contenir jusqu’à 529 espèces de poissons. Pour les coraux, 164 espèces y ont été trouvées incluant 19 non encore connues auparavant comme étant présents dans les eaux malgaches. D’après ces mêmes chercheurs, 4 types de corail qui y ont été aperçus sont encore des nouveautés pour promouvoir la survie à long terme du récif corallien de la région.

Durant cette expédition, l’équipe de chercheurs a en effet conclu que le récif d’Andavadoaka figure parmi les sites marins les plus riches de Madagascar et des nouvelles découvertes importantes y ont été réalisées : 386 espèces de poissons y ont été recensées dont 20 d’entre elles n’ont encore été découvertes auparavant par la science. Et les chercheurs sont encore confiants que l’endroit peut encore contenir jusqu’à 529 espèces de poissons. Pour les coraux, 164 espèces y ont été trouvées incluant 19 non encore connues auparavant comme étant présents dans les eaux malgaches. D’après ces mêmes chercheurs, 4 types de corail qui y ont été aperçus sont encore des nouveautés pour la science.

Mariage Gasy à Kinsasha


Saturday, October 07, 2006

Madagascar : le château de la Reine


Madagascar : le château de la Reine
Vidéo envoyée par tsoret1
Sans complexe , il se débrouille....

Friday, October 06, 2006

Défi tite fleur de vanille


Défi tite fleur de vanille
Vidéo envoyée par luciole5
voici le défi que ma lancé ma Sélénoche
alors comment le trouves tu?
sans effet,que tu naturel,lol
en tout cas merci ma ninette me suis trop amusée
mici,ze t'adore
kisss

Des équipes britanniques vont créer des embryons mêlant l'humain à l'animal



Dans son édition datée du jeudi 5 octobre, le quotidien britannique The Guardian révèle que trois équipes britanniques de biologistes de renom s'apprêtent à créer, via la technique du clonage, des embryons chimériques. Ceux-ci seraient obtenus à partir d'un noyau de cellule humaine placé au sein d'un ovocyte de lapine ou de vache, préalablement énucléé. De tels embryons seraient dotés d'un matériel génétique pour l'essentiel humain (celui présent dans le noyau de la cellule) associé à un soupçon d'ADN animal, présent dans les mitochondries du cytoplasme de l'ovocyte.

La demande officielle pour mener ce travail expérimental a été déposée auprès de la Haute Autorité britannique en charge des activités d'assistance médicale à la procréation et à la recherche en embryologie (HFEA), qui n'y verrait pas d'opposition de principe. En effet, la Grande-Bretagne a autorisé en 2004 la création d'embryons humains à de seules fins scientifiques. Les laboratoires souhaitent notamment, à partir de ces embryons chimériques, étudier le devenir de lignées de cellules souches porteuses d'anomalies génétiques responsables d'affections neurodégénératives.

Fabriquer de tels embryons n'a rien d'irréalisable. En 2003, une équipe chinoise avait annoncé, dans la revue Cell Research, être parvenue à créer une chimère embryonnaire "homme-lapin" dont elle avait obtenu des lignées de cellules souches semblant perdre progressivement leurs caractéristiques animales. Cinq ans auparavant, les chercheurs de la société américaine Advanced Cell Technology affirmaient avoir réussi à implanter le noyau d'une cellule humaine adulte dans un ovule de vache préalablement vidé de son noyau (Le Monde du 14 novembre 1998).

Les responsables de cette firme reconnaissaient que de telles expériences soulevaient de sérieuses questions morales, mais ils estimaient, en substance, que les bénéfices scientifiques et médicaux attendus étaient supérieurs aux risques encourus, et notamment au fait que l'on pourrait créer des êtres vivants pour partie humains, pour partie animaux.

En France, la loi de bioéthique du 6 août 2004 prohibe la création par clonage d'embryons humains. La question est de savoir si, dans ce cas précis, ces embryons chimériques doivent être qualifiés d'"humains".

L'approche envisagée par les équipes britanniques "pourrait a priori résoudre certains problèmes éthiques liés au clonage à visée thérapeutique, explique le professeur Jean-Claude Ameisen, président du comité d'éthique de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle éviterait notamment le recours au don d'ovocytes qui peut présenter un risque pour la santé de la femme. Mais pour les personnes qui refusent la création d'un embryon humain à seule fin de destruction pour la recherche, elle rajoute un problème éthique : celle du statut, à la fois humain et animal, de tels embryons."

Appel pathétique de Josiane, la mère des deux enfants poignardés d’Anosibe

Josiane, la mère de Fandresena et de Mino Fitiavana, les deux enfants qui ont été poignardés par leur propre père, dernièrement à Anosibe, lance un SOS. A la fois orpheline et issue d’une famille nécessiteuse, elle avoue n’être pas en mesure de subvenir aux frais médicaux de ses deux enfants. D’ autre part, son mari, responsable de ce drame, se trouve encore au service viscéral de l’hôpital HJRA.


Agés respectivement de quatre ans et demi et de deux ans et demi, ces deux enfants ont subi la cruauté de Jean Jacquot Mahafehy, leur propre père, dimanche dans la nuit. Ayant bu plus que de raison, ce dernier les a poignardés avant de tenter, lui-même, de se suicider.

D’après Josiane, Fandresena et Mino Fitiavana sont actuellement hors de danger, mais les soins nécessitent une somme colossale. «Depuis leur admission, nous avons déjà dépensé près de 400.000 ariary, alors que nous avons encore des arriérés à la pharmacie des sœurs. De plus, les médecins leur ont prescrit pas mal de médicaments», a-t-elle précisé. Installés dans la chambre 131 de l’hôpital HJRA, les deux enfants, ainsi que leur mère cherchent désespérément de l’aide extérieure pour sortir de l’impasse.